Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Mère Teresa et les journalistes
Emmanuel Macron a parfois des opinions bien tranchées a propos de certains éditorialistes, qu’il accuse par ailleurs d’être dans le ‘’copinage’’. Ils disent à mon sujet : 'Il ne veut pas jouer avec nous.' Et bien non, je ne veux pas jouer avec eux. Franchement, il y en a qui sont à la déontologie ce que Mère Teresa était aux stups. Ils me donnent des leçons de morale alors qu'ils sont dans le copinage et le copinage depuis des années", déclare-t-il ainsi que le rapporte le JDD.
Brigitte Macron révèle le surnom qu’il a donné à François Fillon
Pendant la campagne préisidentielle, Emmanuel Macron ne croit pas du tout en la candidature de François Fillon et le portrait qu’il en dresse n’est pas tendre. "François Fillon est un apparatchik...Son intérêt, c'était de tenir, sinon il n'était plus qu'un justiciable. Mais surtout c'est typique de ce qu'il est : un bourgeois de province du 19e siècle", relève le JDD. Briguitte Macron confie de son côté : « Emmanuel n'a jamais pensé que Fillon était un type sympa. Entre nous, il l'appelle Louis XI. »
Il n’a pas aimé le débat
Du débat qui a rassemblé tous les candidats du premier tour, on a surtout retenu l’intervention de Philippe Poutou sur les affaires qui touchaient alors François Fillon. Nombreux commentateurs ont estimé qu’Emmanuel Macron avait été assez discret, et pour cause, il n’aime pas l’exercice : "J'ai éprouvé peu de sensations. En fait, je déteste ce genre d'exercice : c'est trop formaté" et d’ajouter : "À mes yeux, je n'ai pas été bon, mais les autres ont été plutôt mauvais. Si je gagne, c'est par défaut. […] J'avais beaucoup à perdre et je n'ai pas perdu" , a-t-il confié à Philippe Besson comme l’explique Le Lab.
Juppé et Hollande en prennent pour leur grade
Emmanuel Macron a visiblement longtemps cru pendant la campagne qu’il aurait finalement Nicolas Sarkozy comme adversaire au second tour. Il ne croyait guère aux sondages annonçant Alain Juppé gagnant : "Juppé est en mode planeur. Il perdra".Quant à François Hollande, il dira d’abord qu’il ‘est un "nihiliste" avant de se retrouver ébranlé quand son prédécesseur annonce qu’il ne se représentera pas, précise Sud Ouest.
Pas confiance en Manuel Valls
Si aujourd’hui Manuel Valls siège à l’Assemblée Nationale sous LREM, Emmanuel Macron n’accorde pas vraiment sa confiance à l’ancien Premier ministre. "Valls je ne l’ai pas sollicité. Je ne crois pas en sa sincérité : ai-je tort ? Il se positionne pour le coup d’après et, pour être tout à fait transparent, je pense qu’il ne verrait pas d’un mauvais œil que je perde", rapporte un journaliste du Nouvel Obs.
Il n’aimait pas la finance
Pendant la campagne présidentielle, nombreux sont ceux qui ont tiqué sur la carrière dans le privé d’Emmanuel Macron et notamment son passage dans la banque Rothschild. Une image dont le candidat d’alors aimerait se dégager: "Si j'aimais tant que ça les puissances de l'argent, je serais resté dans cet univers. Mais je n'aimais pas le cynisme qui s'en dégage".
Des envies d’autres choses ?
A la fin de son livre, Philippe Besson pose une ultime question à celui qui vient d’être élu président, et lui demande s’il ne regrette pas de ne pas être devenu écrivrain. "La vie n’est pas finie", lui répond alors le chef de l’Etat.