De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Nouveau scandale sur le réseau social.
A l’approche imminente des municipales, la tension se fait plus vive que jamais au sein de la sphère politique, entraînant son inévitable lot de dérapages et de polémiques. Le dernier en date : la série de tweets postés par Jean Bourdeau, l’attaché parlementaire du sénateur socialiste Jean-Pierre Michel, où sont proférées de nombreuses insultes et allégations à l’encontre du Front National. L’attaché n’hésite d’ailleurs pas à traiter Marion Maréchal-Le Pen aussi bien de "conne" que de "salope".
Non pas totalement gratuites et dénuées de sens, ces termes font écho à ceux employés par l’humoriste Guy Bedos à l’encontre de Nadine Morano lors d’une représentation dans la ville de Toul, attaque d’ailleurs traînée devant les tribunaux par la politicienne. Jean Bourdeau ne cache d’ailleurs pas ce clin d’œil, qu’il confirme du tweet "Vive Guy Bedos".
Des poursuites à venir
Loin d’en être à son coup d’essai, Jean Bourdeau avait déjà nourri la polémique sur Twitter lorsque, en juin dernier, il commentait la manifestation contre le mariage pour tous d’un "Bonaparte tira des coups de canons face aux ennemis de la République ! Valls devrait faire de même, concernant le Printemps français !" cinglant et engagé. Choqué par la violence de l’attaque à l’encontre de la députée, l’entourage de Marion Maréchal-Le Pen a assuré au Lab-Europe1 "qu’une plainte [allait] être déposée à l’encontre de l’attaché parlementaire." Jean-Pierre Michel, quant a lui, a apporté son sontien à l’encontre de son employé, sommant le FN de faire preuve de plus d’"humour". Quoi qu’il en soit, il semble fort que cet épisode sonne l’ouverture d’une nouvelle corrida judiciaire pour le parti de Marine Le Pen.
Marion Maréchal-Le Pen a par ailleurs adressé une lettre à Harlem Désir, premier secrétaire du PS, afin de protester contre les propos de Jean Bourdeau, et requiert une sanction à son encontre. Le tweet est toujours présent sur la page de l'attaché parlementaire.