Ils effectuaient des travaux de rénovation de longue date, quand les nouveaux habitants d'une maison ont découvert par hasard le cadavre réduit à l'état de squelette de l'ancien propriétaire, porté disparu...
Ils ne s’étaient pas revus depuis le 4 mai, au plus fort de la brouille qui les opposait après les propos sulfureux de Jean-Marie Le Pen dans le journal d’extrême droite Rivarol.
Ils se sont finalement revus le 3 septembre au domicile de Marine Le Pen à La Celle-Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), a affirmé mercredi le journal Le Monde qui explique que cette entrevue avait pour but "d’obtenir une conciliation à quarante-huit heures de l’ouverture de l’université d’été du Front national (FN)." "Il ne faut pas grand-chose pour qu’il y ait un accord.", glisse au journal un familier du clan Le Pen.
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"Rien de positif n’en est sorti"
Au cours de cette entrevue, Marien Le Pen a proposé à son père qu’il reste président d’honneur du FN à condition qu’il ne siège plus au bureau exécutif, qui regroupe les neuf plus hauts dirigeants du parti, ni au bureau politique, qui compte une quarantaine de membres.
Mais la tentative de conciliation semble ne pas avoir fonctionné. "Nous avons eu une rencontre qui n’a pas débouché sur de grands résultats, rien de positif n’en est sorti, a avoué au Monde Jean-Marie Le Pen. Cela n’a pas levé le voile des raisons de son attitude à mon endroit. Je me perds toujours en conjectures sur ce qui a poussé à l’injustice majeure de mon exclusion."
Contactée, Marine Le Pen s’est refusée à tout commentaire et n’a pas confirmé l’existence de cette entrevue.
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