Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Qui sont ceux qui murmurent à l’oreille du président ? Emmanuel Macron, fraîchement réélu, peut s’appuyer sur un vaste réseau de collaborateurs et de conseillers, mais tous n’ont pas nécessairement ses faveurs. Force est de constater, rappelle d’ailleurs RTL, que le pouvoir isole. Aussi, la question de l’entourage - réel ou affiché - du chef de l’Etat est tout sauf anodine : c’est l’occasion, dans certains cas, d’envoyer un message politique à une partie de l’électorat, de donner des gages. Dans d’autres situations, c’est aussi une thématique qui en dit long sur la grille de lecture qui domine à l’Elysée.
Savez-vous sur qui le président peut-il véritablement compter ? Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama que vous retrouverez en conclusion de cet article.
Pour l’heure, la composition du nouveau gouvernement qui épaulera le chef de l’Etat dans sa transformation du pays n’est pas encore connue. Le président de la République, ainsi qu’a pu l’expliquer Planet, peine à se choisir un Premier ministre à même de remplacer Jean Castex et l’actuel exécutif pourrait donc - devrait, même ! - rester en exercice jusqu’au terme officiel de ce premier mandat, prévu pour le 13 mai 2022. Une situation inédite, informe BFMTV.
Nouveau gouvernement : le Premier ministre a-t-il l’obligation de démissionner ?
Traditionnellement, rappellent en effet nos confrères, le Premier ministre remet sa démission au chef de l’Etat à l'issue d’une élection présidentielle ou d’un autre scrutin majeur. Ce que n’a pas fait Jean Castex. Mais en a-t-il seulement l’obligation ? Pas d’après Matthieu Croissandeau, éditorialiste auprès de la chaîne d’information en continu. "La seule chose dans la Constitution qui débouche sur une démission automatique du Premier ministre et du gouvernement, c'est lorsqu'il est mis en minorité à l'Assemblée nationale, dans des cas très spécifiques, une motion de censure par exemple", rappelle-t-il.
Jean Castex, pourtant, avait annoncé sa volonté de démissionner après l’élection présidentielle.