La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
1/ Elle a quatre enfants
"Les enfants me donne de l’énergie et me font croire en l’avenir", expliquait Juliette Méadel à Libération en 2013. Déjà maman de trois garçons, la secrétaire d’Etat était enceinte de son quatrième enfant lorsqu’elle est entrée au gouvernement en février dernier. Depuis, elle et son mari, un analyste financier, ont accueilli un petit Hadrien, né le 9 avril 2016. "Les hommes s’appuient sur des horaires extravagants pour écarter les femmes du pouvoir. Je souhaite voir mes enfants entre 19 et 21 heures", confiait Juliette Méadel au journal lorsqu’elle attendait son troisième fils.
2/ Pourquoi vous ne la verrez pas en photo au Conseil des ministres
"Jamais !", a répondu Juliette Méadel à Cheek magazine qui lui demandait si elle posterait des "selfies en Conseil des ministres". "Je repense aux journalistes qui se sont photographiés dans le bureau de Barack Obama, j’ai trouvé ça grotesque. Les hautes fonctions de la République demandent de la solennité, ce qui signifie pour moi ni tweets ni selfies en conseil des ministres", a-t-elle ensuite justifié.
3/ Elle a travaillé avec Ségolène Royal, puis avec François Hollande
Membre du secrétariat national du PS en 2005, Juliette Méadel a travaillé pour Ségolène Royal pendant sa campagne de 2007 en tant que chargées de dossiers, discours et relations avec les intellectuels, puis pour François Hollande en 2012, en tant que responsable de la petite enfance et de la lutte contre les discriminations. "Des 'bébés Ségo’, jeunes et jolies ambitieuses qui ont affûté leurs armes auprès de Ségolène, puis épaulé François lors de la dernière présidentielle, elle est celle qui a le moins pris la lumière. Pour l’instant", écrivait Libération en 2013. En effet, Juliette Méadel a rapidement rattrapé son "retard" : après avoir été nommée porte-parole du PS il y a deux ans, elle a intégré le gouvernement en la qualité de secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux victimes il y a deux mois.
4/ Elle est avocate de profession
"Avocate, docteur en droit privé, diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et de l’Ecole Nationale d’Administration ainsi qu’en philosophie, (DEA, la Sorbonne)", Juliette Méadel a d’abord "consacré 5 ans de (s)a vie à chercher une régulation idéale des marchés financiers", avant de d’entrer dans la fonction publique pour se "mettre au service de l’intérêt général", explique-t-elle sur sa page Internet.