La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Au cours d’une interview récemment accordée aux Inrocks, Aurélie Filippetti a tenu des propos quelque peu surprenants à l’égard de Manuel Valls. En effet, l’ancienne ministre qui en août dernier avait décidé de quitter le gouvernement car elle en déplorait la politique et ne supportait plus "d’avaler des couleuvres", a fait l’éloge du Premier ministre. "Je l’ai toujours respecté et apprécié. Il a le mérite d’être France et fidèle", a-t-elle déclaré ainsi que le rapporte Le Lab d’Europe 1.
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"Avec lui, au moins, les choses sont claires"Un positionnement qui n’est pas sans rappeler celui de Benoît Hamon à la fin du mois dernier. "Avec lui, au moins, les choses sont claires, et c’est pour ça que je l’aime bien", avait confié l’ancien ministre de l’Education nationale à L’Express. Aurélie Filippetti, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg ont tous les trois quitté le gouvernement à l’aube du second remaniement opéré par François Hollande. Seul l’ancien ministre du Redressement productif n’a pour le moment pas encore complimenté l’action de son ancien chef.
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"Valls aurait pu surprendre. C’était cela l’idée d’avril"Mais entre deux compliments, Aurélie Filippetti a également glissé un reproche à Manuel Valls. Il "aurait pu être là où on ne l’attendait pas", a-t-elle estimé avant de regretter : "Il avait passé une alliance avec Benoît Hamon et Arnaud Montebourg l’automne précédent (…) le virage sur l’aile gauche n’a pas été fait (…) Parfois, en politique, c’est ceux qui semblent le moins portés à faire ceci ou cela qui le font. Valls aurait pu surprendre. C’était cela l’idée d’avril. Ce n’est pas passé loin". Et l’ancienne ministre d’en rejeter la faute sur François Hollande : "C’est dommage car je pense que Valls avait lui les ministres nécessaires pour infléchir la politique. Finalement, il a décidé de rester collé à la ligne définie par le président de la République".