Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Comme une évidence. Alors qu’elle était invitée sur le plateau de France 2 ce vendredi matin, Nadine Morano a mis fin à un suspens plus ou moins haletant : oui, elle sera "évidemment" candidate aux élections européennes de 2014 dans la grande région Est. "C’est un secret de polichinelle que de dire que je me suis toujours intéressée aux questions européennes. Je vis dans une région à trois frontières, pour moi, l’Europe c’est du quotidien", a-t-elle ainsi expliqué. L’ancienne ministre du gouvernement Fillon cependant précisé en avoir parlé avec Jean-François Copé et à l’équipe dirigeante, et que le choix final "reviendra à sa famille politique".
Forte de cette annonce, la responsable lorraine a poursuivi en glissant : "Je rendS hommage à Joseph Daul qui a été élu président du PPE (parti populaire européen, NDLR), qui a été tête de liste dans ma grande région Est et qui a apporté beaucoup à l’Europe".
Une habituée des clashs
En début de semaine, Nadine Morano et Joseph Macé-Scaron se sont écharpés par déclaration, articles et tweets interposés. Alors que le directeur de la rédaction de Marianne avait écrit qu’elle était "à la politique ce que Nabilla est à la métaphysique kantienne", l’ex-ministre l’a insulté de "rat". Mais Nadine Morano n’en est pas à son coup d’essai en termes de clash. Parmi les personnes avec qui elle est récemment entrée en désaccord, on compte notamment Jean-Pierre Coffre, le député PS Michel Françaix, l’humoriste Guy Bedos et Sophia Aram.