La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
La très grosse bourde d’Emmanuel Macron : un plan communication discutable ?
Pour marquer la fin du grand débat national, qui a débuté en mars dernier, le président de la République multiplie les rendez-vous pris avec les Français. Un premier à 20h ce lundi soir et un second dès mercredi. Comme l’indique RTL, le chef de l’Etat souhaite d’abord s’exprimer devant les caméras avant de tenir une conférence de presse pour défendre sa politique. Un choix assez critiqué, et pas uniquement par ses adversaires…
"Je n’ai pas bien compris les deux séquences. Ce serait plutôt au Premier ministre de faire l’après-vente", s’étonnent en effet de nombreux cadres du partis, dans les colonnes du site d’information. La plupart d’entre eux l’ont d’ailleurs appris via les réseaux sociaux et ceux qui savaient étaient "tenus de garder le silence". Emmanuel Macron a en effet souhaité assurer la bande annonce de son intervention.
D’une façon générale, le locataire de l’Elysée a tenu à maintenir un certain effet de surprise. Il a fait organiser une réunion ministérielle non annoncée en interne et s’est assuré que les entourages des participants n’en sachent rien. Et pour cause : rien ne devait fuiter avant ses annonces. Certains éditorialistes pointent d’ailleurs du doigt la sacralisation de la parole présidentielle… Une gestion qui n’est pas sans rappeler l’ancien monde, quand bien même elle se démarque de celle exercée lors de la mandature précédente.
Emmanuel Macron : une construction de ses annonces très politique ?
"C’est un nouvel acte", s’est engagé l’Elysée. Et pas des moindres : le président s’autorise à promettre d’importants changements… Jusqu’à transformer "les colères en solutions". Toutefois pour RTL, cette construction en deux temps n’est pas anodine. Emmanuel Macron souhaiterait montrer, une fois de plus, que c’est lui qui dicte le tempo.
En amorçant ses annonces en début de semaine, puis en laissant le temps à l’opposition de réagir avant de reprendre la main, le président s’accorderait de facto un droit de réponse. En plus de "garder les projecteurs braqués sur lui toute la semaine" et de "prendre le temps de faire de la pédagogie"...