![Tubiana, Trump, Jagger & Richards… Quoi de neuf ce mardi 16 juillet 2024 ?](/files/styles/pano_m/public/images/diaporama/6/1/1/2967116/vignette-focus.jpg?itok=ZQVi24QG)
Laurence Tubiana, proposée comme Première ministre, ne fait pas l’unanimité au sein du NFP; Donald Trump plus combatif que jamais après la tentative d’assassinat; une saison des feux de forêts qui démarre...
Selon les informations du Monde, confirmées par Europe 1, Nicolas Sarkozy ne se prononcera pas en faveur d’un front républicain pour le deuxième tour de la législative partielle dans le Doubs. Dans cette circonscription, c’est la candidate FN Sophie Montel (32.60%) qui est arrivée en tête devant le candidat socialiste Frédéric Barbier (28.85%) au premier tour éliminant Charles Demouge (UMP) qui a récolté 26.54% des voix.
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La décision d’un front républicain pour faire barrage au Front national divise fortement l’UMP. Et du côté de Nicolas Sarkozy, pas question de s’y joindre. Fidèle à la position du "ni-ni" qu’il avait exprimée lors des cantonales de 2011, l’ex-chef de l’Etat "veut que les électeurs soient libres de leurs choix" a expliqué l’un des ses proches au Monde. Et comme ceci est noté par le quotidien, les deux solutions sont autant embarrassantes l’une que l’autre.
Appeler au front républicain revient à demander à aux sympathisants UMP de voter en faveur du parti de François Hollande (et donc prêter le flanc aux critiques du système UMPS pointé par le FN). A contrario, la stratégie du "ni-ni" signifie prendre le risque de voir le parti qui n’a pas participé à la marche républicaine gagner un nouveau siège au Palais Bourbon. En d'autres termes, se rendre complice de l’éventuel succès du FN.
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