De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Leur relation n'aurait " jamais été aussi fluide ", fuite volontiers Matignon depuis que l'ancien ministre de l'Éducation nationale a été nommé Premier ministre, selon les informations du Point, ce jeudi 29 février. Et, ce malgré les rumeurs, liées au passage contrasté des deux hommes au Salon de l'agriculture.
"On parle la même langue"
La relation du Premier ministre avec le président de la République a même eu une attention particulière envers son acolyte durant l'un de leurs déjeuners hebdomadaires, relève un article de Gala. "On parle la même langue", apprécie-t-on dans l'entourage du chef de l'État. La preuve ? Les déjeuners hebdomadaires entre Emmanuel Macron et Gabriel Attal durent bien plus longtemps que sous Élisabeth Borne.
Il faut dire que l'appétit de moineau de l'ex-Première ministre avait le don d'agacer le président, et écourtait de fait les repas. C ontraire au côté bon vivant de Gabriel Attal, qui n'hésite pas à réclamer des plats bien spécifiques. Un geste qui a réjoui le locataire de Matignon !
Selon l'hebdomadaire, il “était trop content” face au menu. “Le président a de la bienveillance pour son Premier ministre, note le journal. Entre eux, c'est un remake de Mitterrand-Fabius”.Les déjeuners entre les deux hommes durent, en plus, “bien plus longtemps que sous Élisabeth Borne”.
Du chevreuil au menu...
Une bonne entente telle que le président pour sa nouvelle recrue, ne s'est pas privé de demander au cuisinier de l'Élysée de mettre du chevreuil au menu. "Gabriel Attal était trop content, rapporte-t-on. Le président a de la bienveillance pour son Premier ministre. Entre eux, c'est un remake de Mitterrand-Fabius. " Non pas " lui, c'est lui, et moi, c'est moi ", mais plutôt "lui, c'est lui, et lui, c'est moi ". La nuance n'est pas totalement anodine.
Dans les colonnes du JDD, le 25 février dernier, Gabriel Attal avait évoqué ses relations avec Emmanuel Macron après avoir été interrogé sur la crise du milieu agricole, qui secoue le pays depuis des semaines. Mais également sur le sujet du travail. Le Premier ministre, se montre en effet très reconnaissant envers le président de la République, il n'avait pas tari d'éloges à son sujet, revient un article de Gala.
"Je lui dois tout"
“À l’inverse de beaucoup, je sais que je n’étais rien, personne avant lui. Je lui dois tout. Absolument tout”, avait-il affirmé, ce que rapporte également un article de Gala. Celui qui a eu la chance de succéder à Élisabeth Borne le 9 janvier dernier, à seulement 34 ans, avait ensuite ajouté : “Je ne l’oublie pas et ça conditionne beaucoup de choses, argue-t-il.
” Il faut dire que Gabriel Attal a réussi à gravir les échelons en pouvant compter sur la confiance d'Emmanuel Macron, passant des bancs de Panthéon-Assas jusqu'à son adhésion, en 2016, au mouvement En Marche, rebaptisé LREM, pour arriver jusqu'à Matignon. De quoi montrer que les relations entre le président de la République et son Premier ministre se portent bien.