De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La primaire chez les Républicains a beau avoir lieu à la fin du mois de novembre 2016, les attaques entre les concurrents commencent à fuser de part et d’autre.
A ce petit jeu-là, le maire de Bordeaux, Alain Juppé, n’est pas en reste, multipliant les attaques feutrées contre son principal challenger : Nicolas Sarkozy.
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Dans une interview au Monde, il déclare notamment : "En qui les Français vont-ils placer leur confiance pendant cinq ans ? C’est là-dessus que cela va se jouer. Pas sur le physique…". Une petite pique envoyé à Nicolas Sarkozy qui, non content de s’afficher torse nu en couverture de Paris-Match, raillait l’âge avancé de son ancien ministre.
Alain Juppé déclare également qu’il n’est plus le même : "Oui, j’ai changé", sous-entendu, contrairement à son adversaire qui, quoique l’annonçant également, ne l’aurait pas fait dans les actes.
"Je suis un homme de droite non sectaire"
En témoigne la charge de Nicolas Sarkozy sur les thèmes identitaires qu’il avait abordés lors de sa dernière campagne présidentielle, en 2012. "Je suis un homme de droite non sectaire qui veut éviter les clivages inutiles,les polémiques qui s’embrasent et créent beaucoup de dégâts dans un flot d’informations en continu Je veux me consacrer à l’essentiel et rechercher ce qui rassemble plutôt que ce qui divise.", déclare Alain Juppé, comme pour mieux se différencier de l’ancien chef de l’Etat.
Interrogé sur ses ambitions présidentielles, le maire de Bordeaux déclare : "Pourquoi un homme politique n’aurait-il pas envie d’emporter l’adhésion de ses concitoyens ? Mais je n’ai aucune revanche à prendre." Pas comme un certain… Nicolas Sarkozy ?
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