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A dix jours du second tour de l'élection présidentielle, la presse s'intéresse plus que jamais aux deux candidats... mais aussi à leurs femmes !
Carla Bruni-Sarkozy ayant déjà une notoriété importante, c'est au tour de Valérie Trierweiler, potentielle future première dame de France, d'intéresser la presse, notamment la presse people.
La journaliste de Direct 8 et Paris Match s'est donc prêtée au jeu et a répondu aux questions de Femme Actuelle pour le pour le numéro à paraître samedi 28 avril.
"J'assume financièrement mes trois enfants"
Durant cet entretien, elle parle de sa vision du travail : « Il m'est essentiel de continuer à travailler "J'assume financièrement mes trois enfants. Ce n'est pas à François de les prendre en charge ni à l'Etat".
La journaliste en profite pour déplorer sa situation : "Mes confrères m'ont exclue de la profession, mais je ne vois pas en quoi s'intéresser à la jeunesse d'élie Semoun ou de Michel Drucker est incompatible avec ma position de compagne d'homme politique" s'interroge-t-elle.
"J'adore écouter François"
Sur son rôle pendant la campagne, la compagne du candidat socialiste affirme rester distante : "Je lui dis ce que je pense, je le conseille, en évitant scrupuleusement la politique". "J'adore écouter François (..) je l'acclame les mains levées, comme une femme de footballeur !" précise-t-elle cependant.
"Ce qui me fait peur, c'est de perdre ma liberté"
La possibilité de devenir première dame réjouit-elle pour autant Valérie Trierweiler ? "Première dame, ça ne m'a jamais fait rêver car je n'aurais jamais pu imaginer me trouver un jour dans cette situation ! Je commence à m'interroger mais depuis très peu de temps" répond-t-elle avant d'ajouter : "Ce qui me fait peur, c'est de perdre ma liberté".
"Il fait les courses, cuisine..."
Enfin, on en apprend plus sur sa vie de couple avec le candidat François Hollande. Quel genre d'homme est-il au quotidien ? Selon elle, "c'est un homme qui s'investit dans la maison." A l'en croire, il ne rechigne pas à effectuer tâches ménagères "il fait les courses, cuisine... avec beaucoup de beurre !" souligne-t-elle.
La "petite manie" de François Hollande
Valérie Trierweiler dévoile également "la petite manie" de François Hollande : "Ne jamais fermer les portes des placards ou des pièces." Ce qu'elle interprète comme une qualité : "Il ne ferme jamais la porte à qui que ce soit et n'a rien à cacher".