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Michel Polnareff et son ex-compagne Danyellah n'ont pas fini de faire couler de l'encre. Après les révélations du chanteur à lunettes qui a annoncé que le petit Volodia né en décembre n'était pas de lui, c'est au tour de Danyellah de se livrer. Et elle est loin d'être tendre avec l'interprète de Goodbye Marylou. "Il s'est efforcé de me faire passer pour une putain. C'est pour ça que j'ai décidé de parler", précise-t-elle amère.
C'est au magazine Paris Match que jeune la femme s'est confiée. "Je l'ai rencontré (Michel Polnareff ndlr) en 2001 lors d'une soirée à Los Angeles. [...] J'avais 20 ans. [...] Il était très attentionné. Je suis tombé sous le charme. Son humour a aidé."
Aux mauvaises langues qui accuseraient la jeune femme d'en vouloir à l'argent de Michel Polnareff, Danyellah explique : "Comme on utilisait ma carte de crédit, mes parents ont cru que je me droguais. Nous avions un découvert vertigineux. Michel a toujours eu un mode de vie extravagant."
Le rêve de Danyellah ? Fonder une famille et épouser l'homme qu'elle aime. Mais la tentative de mariage échoue. "Parce que nos avocats n'ont pas trouvé d'accord financier. J'avais accepté l'idée du contrat de mariage, surtout en Californie. Son argent, il l'a gagné grâce à son talent, pas grâce à moi. [...] Mais les conditions étaient telles que, si nous étions amenés à nous séparer, je ne touchais rien. [...] L'échec du projet de mariage était un signe, mais je suis restée." Elle ajoute : "Notre relation était une relation père-fille, il fallait que je demande l'autorisation pour tout."
Et la relation va de mal en pis. "Nous n'avions plus de relations sexuelles depuis longtemps. [...] C'est toujours moi qui faisais le premier pas."
"Nous sommes allés tous les deux dans une clinique spécialisée à Los Angeles, où il a fait un don de sperme - cela l'a beaucoup perturbé. Puis, il m'a laissé seule effectuer la suite des démarches pour avoir un enfant in vitro". Le traitement échoue et Danyellah se tourne vers une autre solution : le don de sperme. "Michel était bien placé pour savoir que nous n'avions plus de relations sexuelles ! Il ne m'a rien demandé, je ne lui ai rien dit. J'ai cru à un accord implicite entre nous."
Rien n'est dit jusqu'au mois de janvier, un mois après la naissance du bébé. "Je lui ai dit : 'Je dois te parler. Je ne sais pas si ça va te plaire, mais c'est très important. Je ne sais même pas par où commencer.' Il m'a répondu : 'Ah ! Je ne suis pas le père de l'enfant ?' J'ai dit 'oui.' Il a ajouté : 'Ça, c'est dur.' Puis il a appelé ses avocats, son assistant, et il est parti. Le soir, il est revenu m'annoncer qu'il s'installait à l'hôtel."
Les désaccords dans le couple sont allés jusqu'au prénom de l'enfant. "Il n'y a jamais eu de Volodia, j'étais contre ce prénom. Je voulais Micha, en hommage à Michel. C'est un fan qui a proposé Volodia, puis il me l'a imposé. Mais sur l'acte de naissance, le prénom de l'enfant est Louka". Et d'affirmer : "Je ne lui ai pas tendu un piège. [...] Je voulais qu'il connaisse les joies de la paternité".
© Pascal Parrot/ABACAPRESS