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Ophélie Winter : ses confidences sur ses opérations de chirurgie esthétique
Le 2 juin 2021, la chanteuse Ophélie Winter, interprète du tube Dieu m'a donné la foi, avait publié son autobiographie Résilience. Dans cet ouvrage, la star s'était confiée comme jamais sur sa vie privée et notamment sur les opérations de chirurgie esthétique qu'elle a subie.
Aussi, on y apprend qu'elle a eu recours à une rhinoplastie à l'âge de 18 ans lorsqu'elle sortait avec un célèbre chanteur. "Je sortais alors avec Prince, et lorsque je lui avais demandé son avis, il m'avait répondu : ’Je ne trouve pas que tu en aies besoin, mais si c'est ce que tu veux, fonce !’ J'ai pris sa réponse comme une validation et j'ai foncé", a-t-elle écrit et d'ajouter : "Lorsque je tombe aujourd'hui sur des photos précédant cette époque, je dois admettre que je n'avais aucun besoin de cette opération. Mais sur le moment, je l'ai vu comme une opportunité à saisir : je n'avais pas à me limiter à mon héritage génétique, j'étais libre de dessiner mes propres traits, de devenir celle que je rêvais d'être".
Ce n'est pas la seule opération que la jeune femme de l'époque a réalisée. L'artiste a eu recours à une réduction mammaire car elle n'aimait pas sa voluptueuse poitrine. "Ma poitrine (du 85 E) devient à mes yeux un véritable complexe au point que plus tard, j'ai fini par faire une réduction mammaire pour cesser de me voir comme une paire de seins sur pattes", a-t-elle avoué.
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Ophélie Winter victime d'attouchements par son oncle
Sur le plateau de Quotidien, la star s'est confiée sur un drame plus personnel. Entre ses 6 et 16 ans, elle a été victime d'attouchements de la part de son oncle, atteint d'un handicap mental, lorsqu'elle se rendait dans la maison de sa grand-mère pendant les vacances.
"Ce truc-là, c’est encore une bagarre avec ma mère (…), parce qu’elle ne m’a pas crue quand je le lui ai dit la première fois. Je lui ai dit : "Maman, Stéphane me touche le zizi". Et je me suis pris une beigne", avait-elle raconté et d'ajouter : "Ça a duré pendant dix ans. Elle le savait. Ma grand-mère, je ne pense pas qu’elle l’ait su. Je ne pense pas que ma mère lui en ait parlé. Jusqu’au jour où on était dans cette maison près de Nîmes, dans le sud de la France, autour de la table, et ma mère sort pour aller chercher un truc. Elle revient et mon oncle a la main dans ma culotte. Elle l’a vu, elle lui a balancé une boîte de brandade de morue dans la tronche et il n’y a pas eu un mot d’explication. Le pauvre, il est handicapé, il ne sait même pas ce que c’est".