Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
C’est tout d’abord sur les bords de l’Atlantique que va débuter la vie de Caroline Margeridon, plus précisément en 1966 : "Mon grand-père y avait une très grosse entreprise de bâtiment", explique-t-elle à Télé Loisirs.
"C'est cette affaire familiale qui a transformé la Villa Eugénie en hôtel du Palais. Il avait une règle : tout le monde doit naître à Biarritz. Je revendique le fait d'être basque. Quand j'allais en vacances là-bas, tout le monde m'appelait 'la Parisienne', cela me rendait hystérique", raconte la sémillante blonde de l'émission Affaire conclue en 2020.
À ses racines basques, il faut ajouter des origines vietnamiennes de sa maman. Une figure maternelle qui a eu une aventure avec un célèbre chanteur, comme elle l'a raconté il y a quelques années : "Elle est morte il y a quelques semaines. Elle était Vietnamienne : elle était très belle, elle est sortie trois ans avec Johnny Hallyday avant ma naissance. Il a adopté des Vietnamiennes, c'est marrant !".
"J’avais décidé d’être marchande"
La star du petit écran se confie plus en avant sur sa jeunesse : "Quand j'étais petite, je passais mon temps dans la boutique de ma mère, qui était brocanteuse à Honfleur, en Normandie, et sur les marchés aux puces", se remémore-t-elle avant de se confier sur sa vocation.
"J'avais décidé, dès l'âge de 5 ans, que je serais marchande, au grand désespoir de mes parents, qui voulaient que je fasse des études." À cette passion naissante, ajoutons aussi un contexte familial spécial : elle a été élevée " comme un petit mec ", avoue-t-elle à nos confrères.
"Je suis l'antithèse de mon physique"
L'ex-candidate de Danse avec les stars s'explique sur son côté garçon manqué : "J'avais toujours des pantalons, des cheveux courts, des trains et des circuits électriques. Je n'ai jamais joué à la poupée. C'est moi qui cassais la figure des garçons qui embêtaient mes grandes sœurs", s'amuse-t-elle.
Une "mentalité de garçon" qu'elle fait encore perdurer aujourd'hui : "Je ne sais pas faire la cuisine ni repasser, en revanche je sais changer une roue, je fais de la plomberie, de l'électricité... Je suis l'antithèse de mon physique. Je suis trop blonde, trop bronzée, trop bijoutée, tout ce que je déteste".
Un luxe certain
Mais son enfance a plutôt été heureuse, bercée par un luxe certain : "J’avais des parents qui nous ont élevés dans le luxe", a-t-elle confié, toujours dans le podcast Parents d’abord, de Femme Actuelle, avant de détailler : "On avait des chevaux de polo, une maison à Deauville".
Une personnalité marquée qui ne l’a pas empêchée de s’épanouir comme mère de famille, avec ses deux enfants, Alexandre et Victoire aujourd’hui âgés de 26 et 25 ans. "J'ai eu la chance d'élever mes enfants seule, parce que leur père, jockey de profession, est parti vivre à Hongkong quand ils avaient 9 et 18 mois… ce qui m'a bien arrangée ! Ils étaient tout le temps avec moi. Leurs copains vivaient chez moi et partaient en vacances avec nous".
Une séparation difficile avec le père de ses enfants
Mais, avec le père de ses enfants, la séparation s’est mal passée : alors en couple avec la jockey Gérald Mossé, elle ne s’est jamais mariée. "J'adore mon nom. Margeridon, je trouve ça super joli (...) et je voulais déjà que mes enfants portent mon nom (...) On s'est connu jeune, il voulait m'épouser. Il avait déjà eu un enfant (...) et je ne voulais pas porter le nom de son ancienne vie", a-t-elle détaillé.
Une infidélité qui marque
L'occasion pour la sublime quinquagénaire de revenir sur l'infidélité de son ex-compagnon : "J'ai pleuré pendant deux ans et demi. Je faisais 45 kilos (...) Ça m'a fait mal, parce qu'on s'est connus, on avait 21 ans". Une mauvaise période qui a marqué sa vie : "Le jour où il m'a connu, il voulait des bébés, je lui ai dit non (...) Il savait ma vie, il savait qui j'étais et malheureusement, le jour où je me suis rendu compte qu'effectivement, il m'a trompé, tu ne mets pas dix ans avant d'accepter de faire des enfants si c'est pour le quitter tout de suite. Il savait que la pire des trahisons pour moi, c'était l'infidélité".
À cette époque, les enfants de la femme d'affaires étaient âgés de 9 et 18 mois. "Quand j’ai quitté le père de mes enfants, je suis partie avec rien, à quatre heures du matin, avec deux valises sous le bras et mes couffins " se remémore-t-elle. En avril 2022, Caroline Margeridon avoue de nouveau être en couple depuis trois ans avec un mystérieux compagnon qui habite à des milliers de kilomètres d’elle.
Distante avec son père
Côté vie de famille, son grand-père est un entrepreneur aisé qui possède une entreprise de près de 4.000 employés. Sa mère Evelyne est brocanteuse et son père René est journaliste. Ancien grand reporter à RTL et RMC. Mais elle avait des relations compliquées avec lui : " Je ne l’ai jamais aimé ", lance d’emblée la meilleure ennemie d'Inès Reg.
"J'ai arrêté de le voir à 18 ans, quand j'ai appris par la femme de ménage qu'il trompait ma mère".