La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
"Je reviens de loin". C’est par ses mots que Michel Drucker évoque son état de santé, tel un miraculé. Interrogé par le journal belge La Meuse, l’animateur de 78 ans s’est épanché sur sa lourde opération au cœur, survenue à la fin de l’été dernier, qui l’a lourdement affaibli par la suite.
Pensant d’abord à "un petit problème de thyroïde", l’animateur de Vivement dimanche est allé consulter l’avis d’un médecin en raison de son état de fatigue. C’est alors que le verdict tombe. "Une bactérie a infecté une de mes dents, et l’infection s’est propagée au cœur, à une valve mitrale, au rein aussi", a-t-il confié à nos confrères wallons.
"Je me suis dit que je ne reviendrais pas"
Tout cela avant de constater que le virus s’était propagé jusqu’à l’une de ses jambes. "Une partie était nécrosée et on aurait pu craindre l’amputation", révèle l’époux de Dany Saval. Face à un tel choc, Michel Drucker a été contraint de passer une série de tests avant que les médecins envisagent de lui faire subir un triple pontage coronarien. "Je me suis dit que je ne reviendrais pas… Que si je m’en sortais, ce serait avec des séquelles !", se souvient celui qui a frôlé la mort, ajoutant avoir "perdu 11 kilos".
Après cette intervention chirurgicale de 7 h 30, un nouveau cœur à neuf et des séances de réduction, Michel Drucker a été placé en confinement et n’a pu recevoir de visites pendant un long moment dans sa maison de repos. Si la santé de l’animateur semblerait s’améliorer, ce dernier n’a pas hésité à alerter sur ce danger à ne pas prendre avec légèreté. "Si vous avez déjà eu des petits problèmes cardiaques et que vous allez chez le dentiste, il faut le signaler, car le moindre soin dentaire ne doit pas être fait sur un sujet qui a une faiblesse cardiaque", avait-il déclaré par téléphone dans Touche pas à mon poste en décembre dernier.