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Meghan Markle et le prince Harry se sont mariés en secret
Une interview qui fait grincer des dents. Ce 7 mars, la duchesse de Sussex Meghan Markle et son époux le prince Harry ont accepté de se confier sur leur vie à Buckingham Palace dans un entretien accordé à l'animatrice Oprah Winfrey. Un entretien-vérité diffusé sur la chaîne CBS qui aurait couté entre 7 et 9 millions de dollars soit environ 6 millions d'euros.
Le 18 janvier 2020, le couple avait décidé de se mettre en retrait de la famille royale britannique et donc de renoncer à leurs titres royaux. "Ils ne rempliront plus d'obligations royales" et "ne peuvent plus formellement représenter la reine", pouvait-on lire dans un communiqué publié par Buckingham Palace. Depuis, le prince Harry et Meghan Markle s'étaient faits très discrets dans les médias. C'est donc avec un engouement non dissimulé que les fans du couple ont assisté à leur entretien ce 7 mars. Dans cette interview-vérité, Meghan Markle a ainsi révélé qu'elle s'était mariée en secret avec le prince Harry trois jours avant la grande cérémonie télévisée qui s'était tenue le 19 mai 2018. Une cérémonie intime dont personne n'avait connaissance, même pas la famille royale.
"Trois jours avant notre mariage, nous nous sommes mariés. Personne ne le savait. Nous avons appelé l'archevêque et nous avons juste dit : 'Regardez cette chose, ce spectacle est pour le monde'. Mais nous voulions notre union entre nous, donc les vœux que nous avons formulés dans notre chambre étaient juste nous deux dans notre cour avec l'archevêque de Canterbury et c'est tout", a expliqué la duchesse de Sussex et son époux Harry d'ajouter : "Oui, juste tous les trois !".
Une cérémonie très intimiste qui étonne peu lorsque l'on sait que les amoureux ont toujours privilégié la discrétion.
Meghan Markle : ses confidences sur ses pensées suicidaires
Ce 7 mars, la duchesse de Sussex Meghan Markle s'est livrée sans filtre dans un entretien accordé à la présentatrice américaine Oprah Winfrey. Devant son interlocutrice, l'ancienne actrice est revenue sur ses difficultés à s'intégrer à la famille royale britannique alors qu'elle était enceinte de son premier enfant, Archie. Une situation d'autant plus complexe que la jeune femme avait des pensées suicidaires.
" Tout se passait simplement parce que je respirais", avait-elle expliqué en larmes et d'ajouter : "Je ne voulais tout simplement plus être en vie. Et c’étaient des pensées constantes, terrifiantes, réelles et très claires". La "firme", comme elle l'appelle, n'a toutefois rien fait pour lui venir en aide. "Je suis allée voir l’institution, et j’ai dit que j’avais besoin d’aller quelque part pour obtenir de l’aide. J’ai dit que je ne m’étais jamais sentie comme ça avant. On m’a dit que je ne pouvais pas, que ce ne serait pas bon pour l’institution", a-t-elle raconté.
Meghan Markle s'est souvenue notamment d'une soirée où elle était à bout psychologiquement. Alors qu'elle était à la moitié de sa grossesse, elle et son époux ont assisté à une soirée mondaine au Royal Albert Hall. "On sourit, on fait notre travail, mais on fait tout ce qu'on peut pour ne pas craquer. À chaque fois que les lumières s'éteignaient dans le box royal je m'effondrais en larmes et lui il me tenait la main, et puis les lumières se rallumaient les regards étaient à nouveau sur nous et il fallait se recomposer un visage", a-t-elle raconté.
Meghan Markle : ces remarques racistes à propos de son fils Archie
Dans cet entretien choc, le couple a fait état de conversations au sein même de la famille royale sur la couleur de peau de leur enfant Archie. Aussi, le prince Harry a révélé que certaines personnes de la monarchie étaient inquietès quant à la couleur de peau de l'enfant.
"Harry a été informé "d'inquiétudes et de conversations (...) quant à savoir à quel point sa peau (serait) foncée quand il (naîtrait)", "ce que ça voudrait dire et à quoi cela ressemblerait", a-t-elle raconté. Ni Meghan Markle ni le prince Harry n'ont donné de noms car cela pourrait être "très dommageable pour ces personnes".
Dans la foulée, Meghan Markle a également affirmé que le palais de Buckingham avait refusé d'accorder une protection à l'enfant, car ce dernier ne devrait pas recevoir de titre de noblesse.