De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Les élections européennes de 2014 ont confirmé la montée progressive de l'extrême-droite. A l'instar du Front National qui a obtenu dimanche 25 % des suffrages en France, des partis eurosceptiques l'ont également emporté, notamment en Danemark et au Royaume-Uni.
Le Parti du peuple danois (DF) est arrivé en tête du scrutin avec 23,1 % des voix, selon un sondage diffusé ce dimanche par la télévision publique DR. Soit une progression de près de 10 points par rapport à 2009. Le parti obtient trois sièges sur les 13 dont devrait disposer le Danemark au Parlement européen.
Au Royaume-Uni, l'UKIP (Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni) constitue l'autre surprise de ces élections. La formation dirigée par Nigel Farage est arrivée en tête du scrutin avec 27,5 % des suffrages. "C'est un résultat extraordinaire", s'est félicité l'intéressé. "Nous avons perdu le contrôle de notre pays et de nos frontières," a ajouté le dirigeant de l'UKIP.
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Forte poussée de l'extrême-droite en Autriche et Hongrie
Le parti d'extrême-droite autrichien FPÖ a recueilli près de 20 % des voix, soit une hausse de plus de cinq points par rapport à 2009. Malgré ces résultats, la formation dirigée par Heinz-Christian Strache n'est pas arrivée en tête du scrutin. Le FPÖ espère quand même constituer un groupe commun avec le Front national à la prochaine séance parlementaire.
Le Mouvement pour une meilleure Hongrie (Jobbik) s'est offert une deuxième place avec 14,7 % des voix, soit trois députés, derrière l'Union civique hongroise (Fidesz). Le parti conservateur de Viktor Orban a largement remporté le scrutin avec plus de 51 % des suffrages.