Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Le préposé à l’ouverture des portes de l’église Sainte-Marie a été pris d’effroi lundi 17 février dernier, en découvrant l'épaisse fumée ayant envahi les dix mètres de plafond de la salle. Alertant les pompiers d’un très probable incendie, ceux-ci sont vite arrivés sur les lieux pour en découvrir la cause : le gisant de bois et de plâtre soutenant une statue du Christ, également monument au mort, se consumaient d’eux-mêmes. Sans flamme aucune. Ni explication. Rapidement stoppée, la combustion a nécessité cependant plus d’une matinée pour en évacuer l’épaisse fumée. Les activités de l’église ont pu reprendre leur cours à partir de 18h.
Une cause inexpliquée
Une enquête a été ouverte afin de déterminer la cause de cet événement des plus étranges. Ainsi les services de gendarmerie, après avoir écarté provisoirement l’hypothèse criminelle, ont engagé des expertises approfondies. Favorisant la piste de l’accident, les enquêteurs se heurtent néanmoins à plusieurs éléments incongrus. À commencer par les objets présents à proximité de la statue, notamment un drapeau français et un ancien corbillard recouvert de tissus, retrouvés totalement intacts. De plus, aucune trace d’effraction n’a été relevée.
"On ne comprend pas. Elle ne peut pas s’être allumée comme ça, s’est interrogé Christian Olive, maire du Boulou, dans le journal Midi Libre. Heureusement, il n’y a aucune conséquence grave. Mais, si cela avait enflammé autre chose, ça aurait pu dégénérer en un incendie d’ampleur."