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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Petite corne plantée fièrement au milieu du crâne, le poisson que Jamie Haskell, vieux loup de mer australien, a remonté sur son bateau semble être sorti tout droit d'un compte fantastique. Parti pêcher au large du Queensland (Australie), il ne s'attendait pas à faire une telle découverte.
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En raison des écailles bleues-vertes qui ornent son dos, le poisson ressemble à un "thon à tête de chien", fréquent dans cette zone de pêche. Petite marque de distinction inhabituelle : une corne de plusieurs centimètres pointée à la verticale.
Caractéristique qui a valu au poisson de se retrouver sur la page facebook d'une émission pour passionnés de pêche.
La seule explication plausible à ce phénomène, avancée par le pêcheur : le poisson aurait fait une mauvaise rencontre et serait reparti avec un souvenir. En l'occurence, le thon aurait croisé le chemin d'un espadon qui, visiblement peu habitué à ce qu'on lui coupe la route, l'aurait empalé, le rostre rentrant par la bouche du malheureux poisson.
Cependant, ce nouvel attribut était parfaitement planté à la verticale. La blessure, très bien cicatrisée, ne semblait guère gêner le thon.
Alors, mauvais coup du sort ou nouvelle espèce de poisson-licorne ?
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