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A la recherche du monstre du Loch Ness. Des scientifiques ont peut-être découvert la nature de celui-ci en décryptant l’ADN contenu dans ces eaux écossaises. Ce jeudi 5 septembre, lors d’une conférence de presse, les travaux du groupe menés par le professeur Neil Gemmell, généticien à l’Université néo-zélandaise d’Otago, ont conclu que la créature pourrait en fait être une anguille.
Des millions de séquences ADN provenant du Loch Ness analysées
En juin 2018, les savants ont collecté 250 échantillons dans les eaux froides du lac, rapporte Le Figaro, 500 millions de séquences ADN ont été comparées à diverses bases de données recensant toutes les plantes, les insectes, les poissons ou les mammifères connus sur Terre.
Les chercheurs ont identifié 3000 espèces grâce à leurs échantillons collectés. Les résultats de cette recherche ont confirmé qu'il y a dans le Loch Ness "une quantité significative d’ADN d’anguille", a déclaré le Pr Neil Gemmell. L'espèce est, en effet, très abondante dans la zone. Elle a été retrouvée dans presque tous les endroits échantillonnés.
Une découverte qui met à mal les croyances populaires selon lesquelles le monstre serait en fait un plésiosaure, un monstre aquatique préhistorique, ou encore un poisson-chat, un esturgeon géant ou un requin du Groenland car aucune trace d’ADN comparable à "une créature qui soit liée" de près ou de loin à ces derniers n'a été retrouvée.
Peut-être verra t-on un jour cette anguille géante sortir des eaux ?