De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L’Egypte, ses pyramides, ses pharaons et ses préservatifs ! C’est dans le pays de Cléopâtre que les archéologues du sexe ont repéré la plus ancienne représentation d’un homme affublé d’un "fourreau" pénien. Elle date de 6 000 ans avant notre ère.
C’est surtout à partir du 14 ème siècle avant JC que son utilisation se généralise près du Nil. Fabriqués en lin, il a la double mission de protéger celui le portant contre les maladies tout en évitant les naissances inutiles. Détail amusant, certaines momies masculines ont été retrouvées avec le vit encapsulé dans un pochon afin de préserver le défunt des MST trainant dans l’au-delà…
Les romains utilisaient aussi des condoms fabriqués à partir de vessies d’animaux ou de morceaux d’intestins. Autre cieux, autre techniques : les chinois préféraient les préservatifs roulés dans du papier de soie huilé, une méthode rodée dès le 10ème siècle de notre ère.
En Europe, si certaines fresques magdaléniennes de la grotte de Lascaux semblent représenter un homme équipé d’un fourreau, c’est au 16ème siècle que le condom s’impose comme la meilleure façon de se protéger des maladies vénériennes. Gabriel Fallopio, un chirurgien italien se spécialise même dans la fabrication d’étuis en sur-mesure afin de démontrer leurs vertus prophylactiques.
Même si l’église en condamne l’emploi, le condom finira par s’imposer aux quatre coins de la planète, les villes d’Utrecht, puis de Londres jouant un rôle clé dans son industrialisation au 18ème siècle. Durant un temps le préservatif fut appelé "Redingotes d’Angleterre" avant de se répandre sous le nom de "capotes anglaises".