Le Premier ministre, François Bayrou, s’est dit favorable à l’organisation d’un référendum sur les finances publiques. Combien coûterait un tel dispositif ? Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau,...
Chaque année en France, des milliers de successions restent sans héritier identifié ou déclaré. Ces "successions vacantes", prises en charge par l'État via la DDGFiP, peuvent pourtant vous concerner. Depuis...
Lorsqu'un proche âgé entre en Ehpad, la question du financement se pose rapidement. Entre aides publiques et participation familiale, qui paie vraiment ?
Ils mènent des carrières exemplaires à la télévision, pourtant certaines stars du petit écran ont des petits grigris ou des rituels avant de prendre l’antenne. Voici les porte-bonheurs dont ne se séparent...
La 2e édition du classement La Belle Plage, qui permet aux baigneurs d’évaluer en un coup d’œil la qualité de l’eau des plages françaises, met en lumière une dégradation notable de la qualité des eaux...
Avec l’âge ou une mauvaise hygiène de vie, le taux de cholestérol peut grimper en flèche. Or, un excès de "mauvais" cholestérol (LDL) augmente le risque de maladies cardiovasculaires. Avant d’envisager un...
L'APL n'est pas la seule aide au logement qui existe. Afin d'améliorer le logement d'un locataire, les propriétaires bailleurs peuvent aussi bénéficier d'une aide de l'ANAH (Agence nationale de l'habitat) pour réaliser des travaux.
Aide de l’ANAH : les ressources du locataire
Outre les APL, les locataires peuvent prétendre à d'autres aides au logement pour améliorer leur qualité de vie. En la matière, il existe notamment l'aide de l'ANAH. Il s'agit d'une subvention, destinée au propriétaire bailleur ou occupant, permettant de financer la réalisation de travaux d'amélioration du logement. Pour en bénéficier, il faut tout d'abord que le niveau de ressources des locataires ne dépasse pas un certain plafond. En effet, la subvention n'est accordée qu'après la signature d'une convention à loyer maîtrisé.
Les conditions de l’aide ANAH
Le versement de l'aide de l'ANAH va également dépendre du logement (il doit au moins avoir 15 ans) et de la nature des travaux. Cela concerne notamment les travaux lourds de réhabilitation ainsi que les travaux portant sur la sécurité, la salubrité, l'adaptation du logement à la perte d'autonomie et la performance énergétique. De plus, le coût des travaux engagés doit au minimum être de 1 500€ HT. Le montant de la subvention est plafonné : il ne peut dépasser 80 000€ HT pour des travaux lourds de réhabilitation et 60 000€ HT pour les autres types de travaux. À la fin du chantier, le propriétaire doit présenter les factures à l'ANAH qui procédera alors au paiement de la subvention.