La marge vous permettant de ne pas être flashé sur l’autoroute par les voitures radar serait bien supérieure à 130 km/h. Et c’est la sécurité routière qui le dit.
Il y a des périodes dans la vie où les fins de mois peuvent être difficiles surtout quand viennent s’ajouter des éléments exceptionnels comme un décès, une perte d’emploi, une pandémie ou encore une période d’inflation. Et parfois, les dépenses s’accumulent et certains problèmes financiers peuvent apparaître. Il peut arriver que certains de vos prélèvements bancaires soient rejetés et vous devrez régulariser votre situation auprès de votre banque et parfois régler certains frais que vous auriez aimé éviter.
D’abord, il existe plusieurs types de prélèvements sur votre compte à ne pas confondre avec les virements bancaires. Vous avez donc :
- Les prélèvements ponctuels
- Les prélèvements récurrents
- Les prélèvements par titre interbancaire de paiement (Tip)
Dans ces trois cas de figure, il est nécessaire de donner son accord par écrit avec signature.
Rejet de prélèvement bancaire : attention aux frais bancaires
Malheureusement, lorsqu’un prélèvement est rejeté par votre banque, vous pouvez vous retrouver avec des surprises. En effet, en cas de défaut ou d'insuffisance de provision, la banque peut rejeter le prélèvement sans obligation d’en informer son client. Elle facturera par la suite des frais de rejet. Le montant de ces frais est librement fixé par les banques.
En revanche, depuis le 1er février 2019, les frais bancaires d'incidents de toute nature sont plafonnés à 25 € par mois pour les personnes en situation de fragilité bancaire. Si vous êtes en situation de surendettement, sachez que les frais de rejet de prélèvement ne peuvent plus vous être facturés depuis le 1er novembre 2010.
Pour conclure, découvrez dans notre diaporama les 5 raisons pour lesquelles votre prélèvement bancaire pourrait être bloqué.