![Tubiana, Trump, Jagger & Richards… Quoi de neuf ce mardi 16 juillet 2024 ?](/files/styles/pano_m/public/images/diaporama/6/1/1/2967116/vignette-focus.jpg?itok=ZQVi24QG)
Laurence Tubiana, proposée comme Première ministre, ne fait pas l’unanimité au sein du NFP; Donald Trump plus combatif que jamais après la tentative d’assassinat; une saison des feux de forêts qui démarre...
Après que la rémunération soit passée de 0,5 % à 1 % le 1er février 2022, à 2 % le 1er août suivant et à 3 % le 1er février dernier, vous étiez nombreux et nombreuses à attendre la deuxième revalorisation du taux.
Cependant celle-ci n'aura pas lieu, ou tout de fois pas maintenant. En effet, la Banque de France n'a pas proposé à Bercy d'augmentation anticipée du taux de Livret A alors que les textes lui en laissaient la possibilité.
Un arrêté du 27 janvier 2021 relatif aux taux d’intérêt des produits d’épargne stipule qu'en cas de variation exceptionnelle de l’inflation, il est possible de faire une revalorisation intermédiaire du taux deux fois par an : le 1er mai ou le 1er novembre. Cependant, le gouverneur de la Banque de France, qui est le seul et unique à pouvoir proposer cette révision, n'a pas décidé de le faire et vous devrez donc patienter jusqu'au 1 aout oùle taux du Livret A passera à 3,5%. En attendant, son taux restera bloqué à 3%.
Comme l'expliquait mi-janvier Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’Épargne, au journal LeParisien : « un point de hausse des taux, ça coûte 5 milliards à la Caisse des dépôts et aux banques » par an. Pour les banques, avec un encours de 500 milliards d'euros, les conséquences de l'augmentation continue de rémunération du Livret A sont donc assez fortes.
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