Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Enfin la "libéralisation ficale" pour cette année. Le 29 juillet serait en effet le jour supposé où les actifs français commenceraient à profiter du fruit de leur travail, selon une étude de l'Institut économique Molinari, un think-thank franco-belge.
"L'indicateur de 'libération fiscale' mesure le poids des impôts (impôt sur le revenu, TVA) et des charges sociales (cotisations patronales et salariales, CSG-CRDS) pour les seuls actifs. Un poids qui atteint 57,5 % du salaire dans l'Hexagone (45,1 % dans l'Union européenne)", explique Le Figaro, qui relaie l’étude.
Un jour de plus qu’en 2013
Toujours selon l’institut, les Français auront travaillé un jour de plus cette année par rapport à 2013 avant cette libéralisation fiscale. Mais les plus mal lotis en Europe sont les Belges, qui devront travailler jusqu’au 6 août.
Ces longs prélèvements en France sont dus principalement aux charges sociales, avec des cotisations sur les salaires importantes acquittées par les employeurs. "Impôts et charges ont ainsi augmenté de 21,4 milliards en 2011, 22,8 milliards en 2012 et 29,5 milliards en 2013", rappelle le site La Provence.
En vidéo sur le même thème - Travail : l’exception française