Une conductrice a saisi le Conseil d'État après avoir reçu une contravention pour stationnement. Et la juridiction lui a donné raison. Explications.
Une scène d'horreur. Les policiers de Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône, ont fait une macabre découverte dans la nuit du dimanche 18 au lundi 19 juillet. Comme l’explique
Tarascon : la tête de l'adolescent « a été en partie mangée »
Selon la radio, la victime pourrait être un mineur de 13 ans, déclaré en fugue deux jours plus tôt d’un foyer de Marseille, à 100 kilomètres de Tarascon. Interrogé par
Sans confirmer l’identité de la victime, le magistrat précise qu’« il s’agit selon les premières constatations d’un cadavre dont la stature pourrait correspondre à celle d’un mineur ». Il donne ensuite des détails terribles sur la manière dont le corps a été mutilé : « Il y a sur le corps des traces d’arrachages de chair. Je ne sais pas comment ces morceaux de chair ont été arrachés. Cela peut vouloir dire avec un couteau, avec des pinces ou avec les dents, je n’en sais rien ». Selon une source policière, citée par 20 Minutes, la tête de l'adolescent « a été en partie mangée ».
Connu pour des faits de violences et des problèmes psychiatriques, l’occupant du logement a été interpellé par des policiers vers 2h30 du matin, dans la nuit du 18 au 19 juillet. Touché par un tir alors qu’il prenait la fuite, il est décédé peu de temps après, des suites de ses blessures. L’enquête, qui ne fait que commencer, doit notamment chercher à comprendre quels étaient les liens entre cet homme et l’adolescent. Se connaissaient-ils ? La victime est-elle tombée dans un piège ? D'après 20 Minutes, le jeune homme se rendait initialement chez sa mère, qui vit dans la même rue.
Crédit photo : ©Wikimedia Commons