Pendant la période des fêtes de fin d’année, une nouvelle méthode de fraude particulièrement sournoise émerge : des faux conseillers bancaires qui utilisent WhatsApp pour tromper les Français.
Il aimait son chien plus que tout. Lorsque son fidèle compagnon est décédé, en 2013, le brésilien Rodrigo Braga décide de lui rendre hommage d’une manière… très étrange. Il veut se faire greffer des morceaux de sa tête, et devenir ainsi le premier « homme-chien » du monde.
Sur internet, il publie un cliché de lui, très surprenant, où les oreilles du canidé semblent cousues au-dessus des siennes, et son museau transplanté à l’endroit de sa bouche et de son nez. L’image, très réaliste, n’a pas manqué de faire réagir les internautes
Une telle transformation va-t-elle trop loin ?
Dans l’histoire, il n’est pas le premier à vouloir modifier son corps à l’extrême pour ressembler à un animal. Dennis Avner, un américain obsédé par la chirurgie, avait eu recours à pas moins de 41 opérations, un record, pour devenir un « homme félin ». Il s’est donné à la mort en 2012, à l’âge de 54 ans.
Le premier « homme-chien » du monde : intox ?
À son instar, Rodrigo Braga serait-il devenu le premier « homme chien » du monde ? Si la rumeur n’a pas tardé à enfler sur les réseaux, l’intéressé a fini par démentir. En réalité, la photographie est le fruit d’un montage Photoshop, dans le cadre d’un travail artistique. Rodrigo est en effet plasticien.
Mais l’histoire n’en demeure pas moins curieuse. Car pour réaliser son montage, Rodrigo Braga a bien utilisé des parties de la carcasse de l’animal, qu’il a découpées avant de les « coller » sur une réplique en silicone de son propre visage.
L’œuvre, destinée à faire partie d’un projet nommé « Fantasía de compensação » (Fantaisie de compensation), a d’ailleurs crée une vive polémique. On a notamment accusé l’artiste d’avoir utilisé le cadavre du chien sans égards, voire même, d’avoir tué la bête dans le seul but de produire son art.
Rodrigo Braga a dû répondre : il a expliqué que le chien avait été euthanasié pour des raisons de santé par un chenil, qui lui avait alors donné l’autorisation d’utiliser sa carcasse.