Ces 10 tueurs en série qui n’ont jamais été arrêtés

En 1911, dans la ville d’Atlanta, en Géorgie, une quinzaine de jeunes femmes noires sont tuées et éventrées sauvagement. De nombreux suspects sont interpellés, mais aucun ne sera finalement poursuivi. A ce jour, on ignore encore qui était le diabolique « Éventreur d’Atlanta ».

Son histoire est devenue un mythe. Pourtant, les crimes de Jack l’Éventreur ont bien existé.

En 1888, dans le quartier Whitechapel, à Londres, cinq femmes sont brutalement agressées et tuées, en pleine rue. A chaque fois, le tueur leur fait subir d’atroces mutilations : leurs organes sont arrachés, leurs parties génitales éviscérées. D’autres meurtres ont lieu dans le même coin, à l’époque, et pourraient aussi être du fait de « Jack l’Éventreur ».

L’enquête pour retrouver le « monstre » défraie la chronique. On soupçonne des bouchers, des chirurgiens, des assommeurs… On fait intervenir les plus grands « profileurs » de l’époque. Et une centaine de suspects sont étudiés à loupe. En vain. Jamais personne ne saura qui se cachait derrière le terrifiant « Jack ».

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On l’appelle aussi « le Baby-sitter ». Entre 1976 et 1977, un redoutable prédateur enlève et tue 4 jeunes enfants dans le comté d’Oakland (Michigan). Plusieurs suspects sont identifiés, mais l’ADN ne colle pas vraiment.

Faute de preuves, personne n’a jamais été arrêté. Mais les enquêteurs ne perdent pas espoir, et continuent leurs recherches, près de 50 ans plus tard.

Le « Cleveland Torso Murderer », ou « Boucher Fou de Cleveland » sévit entre 1934 et 1938 dans le quartier de Kingsbury Run, à Cleveland (Ohio).

Il aurait fait au moins 13 victimes : mais seulement deux ont pu être identifiées formellement. En cause : les mutilations étaient tellement sévères que les dépouilles étaient méconnaissables. Le « boucher » tuait par décapitation, avant de trancher les mains et les jambes de ses victimes, ne laissant ainsi que leur torse intact.

L’enquête est périlleuse. On finit par arrêter un étudiant en médecine homosexuel, issu d’une riche famille de Cleveland, mais il est finalement interné dans un asile psychiatrique. Un autre suspect, Franck Dolezal, est alors inculpé pour deux des meurtres, mais il se « suicide » mystérieusement dans sa cellule.