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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Les amies de Delphine Jubillar poursuivent les battues. Elles ont organisé de nouvelles recherches vers Saint-Dalmaze, non loin du lotissement du couple Jubillar. Depuis huit mois, munies d’une carte, elles fouillent le terrain avec des volontaires, touchés par la triste affaire. Car si Cédric Jubillar, le mari de la jeune infirmière et maman de 33 ans disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, a été mis en examen le 18 juin dernier pour homicide volontaire sur conjoint", il continue de clamer son innocence.
"Là, il y a de la rubalise, les gendarmes ont procédé à des recherches. Les chiens Saint-Hubert sont passés par là" indique à La Dépêche l'une des organisatrices du rassemblement en désignant un autre endroit sur le plan.
Pelles, outils pour gratter la terre… Les participants, qui se dirigent vers la centrale photovoltaïque sont l'affût du moindre indice. Avec la végétation qui a poussé, l'exploration se complique. "C'est tellement grand à explorer... Quand on est nombreux, on peut mieux observer" indique Emy, l’une des amies de Delphine Jubillar. "Il faut garder l'espoir, c'est ce qui nous fait tenir. Même si on sait très bien vers quelle issue on peut se diriger. La chercher est devenu une obsession."
Un participant a d’ailleurs trouvé une bâche dans un fossé. C’est toutefois une fausse alerte, car cette dernière ne recouvre qu'un tas de terre détrempée.
Si les amies de Delphine sont conscientes "qu'il faut être réaliste, malgré l'incertitude", elles continuent "à espérer."
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