De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Pas de corps, pas de scène de crime, pas d’indice probant. Les enquêteurs de l’affaire Delphine Jubillar tentent de comprendre ce qui est arrivé à cette mère de famille de 33 ans, qui a disparu du jour au lendemain. Rendu difficile par l’absence d’indice, le dossier se butte encore à des zones d’ombre. À quelle heure a-t-elle quitté son domicile ? Dans quelle direction est-elle partie ? Selon son mari, sa disparition aurait eu lieu entre 23 heures le mardi 15 et 4 heures le mercredi 16 décembre. Selon des voisins, elle aurait pu sortir avec les deux chiens du couple, mais elle ne les promenait jamais seule et encore moins la nuit.
Affaire Jubillar : les chiens ont perdu sa trace à 200 mètres de son domicile
En claquant la porte de chez elle, Delphine Jubillar part avec sa doudoune blanche et son téléphone portable, qui cessera d’émettre seulement quelques heures plus tard, à deux kilomètres de sa maison de Cagnac-les-Mines (Tarn). L’émission Sept à Huit, diffusée dimanche 17 janvier sur TF1, est revenue sur cette affaire et rappelle que les chiens de la gendarmerie ont perdu la trace de Delphine Jubillar à 200 mètres de son domicile, au niveau d’un croisement. Sur les images de la chaîne, on voit effectivement le croisement entre deux routes, dont l’une est marquée par un "Stop". S’ils savent qu’elle est passée par là un moment ou un autre, les enquêteurs ne savent pas si cette piste date de la nuit de sa disparition ou si elle est plus ancienne.
Delphine Jubillar a-t-elle parcouru les 200 mètres jusqu’à ce croisement cette nuit de décembre ? Avait-elle rendez-vous avec quelqu’un à cet endroit ? A-t-elle fait une mauvaise rencontre au niveau de cette route ? Des questions auxquelles les gendarmes n’ont pas encore de réponse.