Après une semaine d’interruption, le procès des viols de Mazan reprend ce lundi 4 novembre. Sept nouveaux mis en cause seront entendus à la barre, le huitième étant en fuite.
La vague inflationniste ronge le pouvoir d’achat des Françaises et des Français. Certains essayent peut-être de se rassurer après la légère décrue observée au mois d’août, note Le Figaro, et sur laquelle Bruno Le Maire a récemment pris la parole. En l’espace d’un an, entre août 2021 et août 2022, elle a augmenté de 5,8%. En juillet, toujours sur un an, elle excédait 6%, rappelle le Journal du Net. Pas de quoi se frotter les mains, donc… D’autant plus que la situation est bien partie pour perdurer, à en croire le transfuge de la droite. “Il y a un léger reflux de l'inflation à 5,8%. Mais nous sommes aujourd'hui à des niveaux d'inflation élevés. Ça va durer encore plusieurs mois, et je n'anticipe pas de décrue avant les premiers mois de 2023, peut-être la mi-2023”, a ainsi indiqué le ministre de l’Economie et des Finances.
Ceci étant dit, a récemment fait savoir l’association Foodwatch, certains commerçants n’hésitent pas à profiter de l’inflation. Ils vendent certains produits plus chers qu’ils ne le devraient, explique Le Huffington Post sur son site. Plus d’informations à ce sujet dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.
Inflation : se préparer à des mois compliqués
“La période difficile, c’est entre maintenant et le printemps prochain. C’est elle où il faut accompagner. C’est bien pour ça qu’on a pris toutes les mesures de protection maintenant. Et ensuite, j’espère qu’au printemps 2023, l’inflation aura commencé à reculer et que l’économie française aura bien résisté”, a poursuivi le locataire de Bercy. “Je ferais dans les prochaines semaines des propositions au président de la République et à la Première ministre pour réduire les délais d’implantation des usines en France”, a-t-il d’ailleurs ajouté.