La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Certains pourraient crier au scandale. Guerre en Ukraine oblige, certains produits risquent désormais d’être frappés de pénuries. C’est le cas de l’huile de tournesol, en grande partie commercialisée par le grenier à blé de l’Europe. A elle seule, l’Ukraine exportait en effet 50% de toute la production mondiale. Or, le conflit perturbe mécaniquement les semis, rappelle BFMTV. Il va donc falloir s’attendre à une réduction drastique des ventes. Bien sûr, la France sait elle aussi produire de l’huile de tournesol. Cependant, indiquent nos confrères, elle n’est pas en mesure de le faire en quantités suffisantes pour contenter l’intégralité des besoins.
Bien évidemment, ce n’est pas là que se situe le fond du problème. Le souci - signalé notamment par des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir, précise Midi Libre sur son site - c’est qu’il va falloir remplacer l’huile de tournesol. Plusieurs ingrédients font désormais office de candidats, avec l’huile de colza, l’huile de palme ou la graisse de coprah (issue de la noix de coco) en tête de liste des suggestions. Ceci ne sera pas sans impact sur le goût et la texture des produits. Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.
Allergie, information des consommateurs… tous les problèmes du remplacement de l’huile de tournesol
Plus important, et plus grave : les industriels peuvent modifier la composition de leurs produits sans alerter leurs consommateurs ; puisqu’il ne serait pas possible de modifier assez vite les paquets et les emballages. Ce marché aussi est en tension, alerte BFMTV, non sans préciser que de tels changements de recettes pourraient survenir rapidement. C’est un problème, puisque certains clients évitent sciemment des produits (pour des raisons économiques, morales ou même sanitaires) et pourraient se retrouver à acheter involontairement un bien qu’ils n’auraient pas pris en temps normal…