De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
A travers tout le pays, les radars sillonnent les routes. Souvent critiqués par les automobilistes, ces appareils permettent de surveiller la vitesse des usagers de la chaussée et de sanctionner ceux qui roulent au-dessus des vitesses maximales autorisées. Fixes, discriminants ou encore embarqués, il existe de nombreux types de radars.
Lorsqu’un automobiliste se fait flasher, plusieurs sanctions peuvent être engagées en fonction de l’importance de l’infraction. Par exemple, pour un excès de vitesse inférieur à 20 km/h avec une vitesse limitée à plus de 50 km/h, le contrevenant s’expose à une amende forfaitaire de 68 euros avec un retrait d’un point sur le permis de conduire.
Quelle est la peine maximale pour un excès de vitesse ?
En revanche, pour un excès de vitesse supérieur ou égal à 50 km/h, l’infraction est alors de 5e classe. L’automobiliste s’expose à une amende maximale de 1 500 euros, une suspension de trois ans du permis de conduire, une interdiction de conduire certains véhicules pendant trois ans, un stage de sécurité routière ainsi qu’une confiscation du véhicule. En cas de récidive d’une telle infraction l’amende maximale peut grimper jusqu’à 3 750 euros et être accompagnée d’une peine d’emprisonnement de trois mois.
La loi peut donc se montrer sévère avec les usagers de la route ayant un comportement considéré comme dangereux. Mais pour les petits excès de vitesse, une marge technique existe qui peut permettre de passer entre les mailles du filet.
Découvrez dans notre diaporama à combien s’élève les marges de tolérance des radars fixes pour chacune des limitations de vitesse.