De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Fiers d’être Corse ou opposés au futur projet d’aéroport, les automobilistes sont nombreux à décorer leur voiture avec des autocollants. Certains sont humoristiques, d’autres simplement décoratifs. Apparus dans les années 60, les stickers sont des supports adhésifs, comprenant un texte ou des images. Quelle meilleure surface que la carrosserie lisse de son véhicule ?
Hormis les classiques "A l’aise Breizh" ou "Normandie, fort et vert", on retrouve fréquemment les mêmes autoadhésifs sur les voitures. Il y en a un en particulier auquel on ne peut échapper : le macaron A. Chaque jeune conducteur est dans l’obligation de le coller sur sa voiture pour signifier son statut d’apprenti. La lettre doit être inscrite en rouge sur un rond blanc. En cas d’absence du macaron, le jeune conducteur s’expose à une amende forfaitaire de 35 €.
Autocollants sur les voitures : quelle valeur juridique pour le "Bébé à bord" ?
Autre sticker collé à l’arrière de milliers de voitures : l’autocollant "Bébé à bord". Non obligatoire, il ne répond à aucune une réglementation. Né au milieu des années 1980 aux États-Unis, cet autoadhésif invite simplement les automobilistes à plus de vigilance, rapportent nos confrères de Ouest-France. Il peut également alerter sur une conduite plutôt lente de la part du propriétaire du véhicule.
Coller un sticker sur sa voiture est parfaitement légal. Mais, la loi impose toute de même certaines limites. Quels sont les 5 cas où la loi interdit les autocollants sur les voitures ?