Pendant la période des fêtes de fin d’année, une nouvelle méthode de fraude particulièrement sournoise émerge : des faux conseillers bancaires qui utilisent WhatsApp pour tromper les Français.
Ancienne Première dame de France, Carla Bruni-Sarkozy a repris sa carrière de chanteuse avec un agenda chargé. Revenue d'une première tournée américaine, la chanteuse s'apprête à repartir en direction de Barcelone, Tel-Aviv et Moscou. Ce qui ne l'a pas empêché pas de faire une pause le temps de répondre aux questions des médias français.
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"J’en ai marre qu’on me pose des questions sur lui"
Et c'est auprès du magazine Elle que Carla Bruni-Sarkozy s'est confiée. Si elle a brièvement évoqué sa vie familiale dans les colonnes de l'hebdomadaire féminin, elle a surtout été interrogée sur un probable retour de Nicolas Sarkozy en politique. Un sujet qui semble agacer l'ex-Première dame : "J’en ai marre qu’on me pose des questions sur lui. Vous n’avez qu’à le lui demander. Je fais des efforts surhumains pour répondre correctement et aimablement, mais, au fond, je ne suis qu’une artiste, une chanteuse. Et là, je n’en peux plus qu’on essaie de me faire répondre à sa place".
En effet ce n'est pas la première fois que Carla Bruni-Sarkozy est invitée à répondre sur les ambitions supposées de son mari. La chanteuse s'était déjà confiée en juin dernier sur le sujet, toujours dans les colonnes d'Elle. "En tant qu'épouse, je préfèrerais qu'il n'y retourne pas. Pour raisons de santé, de sérénité et philosophiques, pas citoyennes. C'est une charge très pesante", avait-elle expliqué. Si elle a maintenu ses propos depuis, elle a toutefois ajouté qu'elle ne pourrait pas "faire abstraction" des velléités politiques de son époux en vue des prochaines élections présidentielles en 2017.