De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Il a décidé de se confronter aux réalités des quartiers de Montpellier. Le président de la République s'est rendu sur le Clapas ce lundi 19 avril, dans l'espoir de travailler aux corps certains sujets régaliens jugés essentiels, tel que le sécuritaire. C'est pourquoi, explique le Huffington Post, il a fait la "tournée des 'points chauds' en voiture banalisée" avant de visiter certains des endroits où les dealers avaient l'habitude d'opérer. Il a aussi longuement échangé avec les forces de l'ordre, lesquels se plaignent d'une montée de toutes formes de violences - exception faite de celle d'origine policière -, n'hésitant pas à renvoyer dos-à-dos délinquants et manifestants ou Gilets jaunes.
Plus tard, poursuit le pure-player, Emmanuel Macron a aussi été pris à parti par une mère de famille inquiète. Celle-ci habite dans le quartier pauvre de la Mosson, où s'était installé un groupe de dealers armés, en février dernier. Ils ont séquestré une partie des habitants avant qu'une importante opération de police ne vienne les déloger. Ce n'est pas de ça - ou, du moins pas que de cela - qu'elle souhaitait lui parler.
Le prénom "Pierre" existe-t-il encore en dehors des livres ? Une mère inquiète interpelle Emmanuel Macron
En vérité, elle a voulu lui parler du manque de mixité qui, selon elle, cloue peu à peu le quartier, dit de "reconquête républicaine" (QPR). "Mon fils m'a demandé si le prénom de Pierre existait vraiment. Cela m'a vraiment choquée. Il faut davantage de mixité dans le collège de ce quartier. C'est vraiment grave", a déclaré cette habitante voilée, dont le témoignage a, semble-t-il, surpris le chef de l'Etat.