De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L'interview d'Emmanuel Macron ce dimanche pour sa première année au pouvoir a été vivement commentée dans les médias et sur les réseaux sociaux. Pour cet entretien très attendu, qui a eu lieu au Théâtre national de Chaillot à Paris, le chef de l'Etat faisait face à Edwy Plenel (Mediapart) et Jean-Jacques Bourdin (RMC-BFMTV).
Si les propos du président sont largement décortiqués depuis, il en va de même pour les deux journalistes auxquels il faisait face, également objets de critiques. Jean-Jacques Bourdin n’a pas attendu pour riposter. Mardi, il a offert un petit clin d’œil à ses détracteurs.
A lire aussi : Contraventions : la combine de Jean-Jacques Bourdin pour échapper aux PV
"Je ne vous appellerai pas Monsieur le président"
Dans son émission Bourdin Direct, face à Bruno Retailleau, président du groupe les républicains au Sénat, Jean-Jacques Bourdin a lancé, sur le ton de l’humour : "Je vous appellerai Bruno Retailleau et non pas Monsieur le président !". Ce à quoi l'interviewé a répondu : "Si vous me mettez sur le même piédestal que le président de la république, alors ça m'honore". "C'était un petit clin d'oeil", a finalement plaisanté Jean-Jacques Bourdin.
Le journaliste de RMC faisait référence à l'une des princiaples critiques qui lui ont été adressées à lui, ainsi qu'à Edwy Plenel, celle d'avoir appelé Emmanuel Macron par son nom et prénom, et non par sa fonction. D'ailleurs dès lundi matin, Jean-Jacques Bourdin s'en était défendu : "Quand je suis là le matin, tous mes interlocuteurs, je les appelle par leurs noms et leurs prénoms. Comme on le fait dans une conversation". Il reste par ailleurs très fier de l'interview du chef de l'Etat : "Ma fierté, c'est d'avoir cassé les codes de l'interview politique (...). Je sais que toute la profession va nous tomber dessus. Et alors ? Je m'en moque".
En vidéo - Edwy Plenel : "L'interview présidentielle, a révélé ce qu'est la présidence d'Emmanuel Macron"