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A ce stade, rappelle Franceinfo, rien ne permet d'indiquer que les deux suspects puissent avoir un lien l'un avec l'autre, si ce n'est qu'ils ont désormais pour point commun d'avoir tous deux été mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle.
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Dans les deux cas, les deux jeunes individus étaient, selon différentes sources dont Le Figaro se fait l'écho, considérés comme "déterminés" et visiblement en contact avec le groupe Etat Islamique. Il se révélaient, par ailleurs, tous deux particulièrement actifs sur les réseaux sociaux.
Attaquer à coups de couteau ?
Selon Le Parisien, il semblerait que l'homme âgé de 21 ans arrêté non loin de Lyon vendredi 22 décembre et placé, depuis, en détention provisoire, ait invoqué sa volonté d'attaquer les forces de l'ordre à coups de couteau. Ambition qu'il aurait préalablement partagée sur les réseaux sociaux en indiquant le fait qu'il souhaitait effectivement commettre un attentat.
A cela, s'ajoute un profil psychologique particulier. Selon RMC, l'homme avait déjà été assigné à résidence pendant un an. Ce, jusqu'au mois d'août dernier. Il souffrirait également de troubles psychiatriques. C'est, d'ailleurs, dans une maison de soins située à Lyon où il était entré il y a un mois qu'il aurait été interpellé.
Elle visait des lieux publics
De son côté, la jeune femme âgée de 19 ans résidait, jusqu'à présent, dans l'Essonne. Selon Le Parisien, elle aurait été interpellée lundi 18 décembre en région parisienne. Présentée, de prime abord, telle une "une étudiante festive, non radicalisée en apparence", il semblerait néanmoins que ladite jeune femme prévoyait bien de commettre en attentat en province du fait d'une présence moins importante des forces de l'ordre au-delà de la région parisienne, rapporte Franceinfo.
Durant sa garde vue, la jeune femme, toujours en détention provisoire, aurait, précise Le Figaro, non seulement défendu les attentats commis en 2015, mais également chercher à se procurer, depuis le mois d'octobre 2017, des armes à feu. Elle aurait également fait en sorte d'effectuer un certain nombre de repérages en province en vue de viser des lieux publics, notamment des cafés.
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