De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Si certains retraités attendent la fin de leur carrière avec impatience pour profiter sereinement de leur famille ou voguer vers de nouveaux horizons à l’étranger, d’autres sont plus inquiets par la perspective d’une période d’inactivité. Il n’est ainsi pas rare de voir de jeunes retraités se lancer dans un cumul emploi-retraite pour arrondir leurs fins de mois ou encore chercher des sources d’enrichissements extérieures. La tentation du bénévolat peut également apparaître. Quelles sont aujourd’hui les associations qui ont besoin de bénévoles ?
Retraite : le bénévolat, un besoin de rester actif
Rester actif à tout prix. Pour un grand nombre de retraités, l’envie d’arrêter de travailler n’est pas liée à celle de ne plus bouger ou de se mettre à l’arrêt complet. Beaucoup d’entre eux tentent ainsi l’expérience du bénévolat, qui permet, à la fois, de se sentir utile et de venir en aide à des associations qui en ont besoin. Si vous souhaitez apporter une aide à ces organismes, vous pouvez vous connecter sur le site jeveuxaider.gouv.fr, qui offre une liste de milliers d’associations à la recherche de bénévoles. Pour les retraités qui vivent à Paris, il est également possible de vous lancer dans un club de lecture, l’association Cité Caritas, afin d’accompagner des personnes en situation de handicap ou de précarité.
Retraite : des associations en quête de bénévoles
Les offres de bénévolat sont ainsi plus importantes en région parisienne. Par exemple, l’association AVDTM et son programme Explor’job permet de faire découvrir un métier à des jeunes ou des personnes en recherche d’emploi. De cette manière, vous avez la possibilité de transmettre l’affection éprouvée pour votre ancien métier. Toujours en région parisienne, dans les Yvelines, vous pouvez également rejoindre le secours catholique, qui cherche un bénévole afin d’accompagner les personnes qui ont des difficultés avec les nouvelles technologies. Au rythme d’une heure et demie par semaine, vous aurez ainsi la capacité d’aider les autres durablement.