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Savez-vous quand partir à la retraite ? En théorie, le bon moment pour liquider ses droits dépend de bien des facteurs. À commencer par l’année de naissance, mais pas seulement ! La durée de cotisation constitue, elle aussi, un élément important de l’équation pour quiconque souhaite ne pas souffrir d’une pension amputée une fois survenue la cessation d’activité. Ce que savent sans doute bien les Françaises et les Français en mesure aujourd’hui d’afficher quelque 168 trimestres validés avant même leur départ.
Pour toutes les générations nées avant 1966, avoir cotisé 168 trimestres représente l’assurance de bénéficier du taux plein, au moins dans le régime général. Celles et ceux qui liquident aujourd’hui leur droit étant pour l’essentiel nés au début des années 60, ils n’ont théoriquement pas à s’inquiéter : c’est même une durée de cotisation qui leur ouvrira peut-être le droit à une surcote. En effet, rappelle le site du service public, tout Français né entre entre 1958 et 1960 n’a “que” 167 trimestres à fournir.
Retraite : quelle surcote pour 168 trimestres cotisés ?
Dans le détail, indique le site spécialisé La Retraite en Clair, chaque trimestre validé supplémentaire ouvre droit à une majoration du montant de la pension. Le bonus, cependant, ne s’applique que sur la pension de base. Soyez vigilants, puisque seuls les trimestres cotisés (pas les assimilés, donc) y ouvrent le droit.
A l’inverse des décotes, dont Planet a déjà beaucoup parlé, elle n’est pas plafonnée. Elle est également viagère, ce qui signifie qu’elle sera perçue à vie. Plus intéressant encore, elle est cumulable avec certaines majorations dont les retraités peuvent parfois bénéficier.
Pour les anciens salariés du privé, la surcote est de 1,25% du montant de la pension par trimestre supplémentaire validé.
Attention cependant à la décote mise en place par l’Agirc-Arrco si vous ne continuez pas à travailler un an durant après l’obtention de votre taux plein.