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Connaissez-vous le départ à la retraite aussi bien que vous ne le pensez ? Il peut effectivement résulter de diverses situations et connaît quelques variantes. Notamment la cessation volontaire d’activité professionnelle ; par opposition à la mise à la retraite. Cette dernière, explique l’organisme non lucratif de protection sociale AG2R La Mondiale - qui rappelle les termes du Code du travail - n’est autre que la “décision résultant d’une volonté non équivoque du salarié en vue de rompre son contrat de travail pour bénéficier d’une pension de vieillesse”.
C’est le processus standard de départ à la retraite ; qui ne permet pas véritablement au salarié concerné de librement choisir le moment de sa fin de carrière : celui-ci demeure en effet contraint d’attendre l’âge légal - aujourd’hui fixé à 62 ans, mais que de nombreux figures politique souhaiteraient relever - avant de liquider ses droits. Ceci étant, il n’a pas besoin de l’accord de son employeur pour le faire, une fois ces limites atteintes.
Départ volontaire à la retraite : existe-t-il des alternatives ?
Le départ volontaire à la retraite implique pourtant un certain nombre de démarches, parmi lesquelles le fait d’alerter son employeur et de respecter le préavis avant de quitter son emploi. En cas de chômage, il faut se tourner vers Pôle emploi. Vous pouvez par ailleurs demander votre départ à la retraite depuis le site de l’Assurance retraite.
L’alternative au départ volontaire à la retraite n’est autre que la mise à la retraite. Elle n’est possible qu’à partir de 70 ans, sur décision de l’employeur. Il n’a pas besoin d’un accord de la ou du travailleur concerné. Avant cela, il est contraint de l’interroger.