La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Mardi, lors de sa venue à C à vous diffusé sur France 5, Audrey Pulvar a abordé sa suspension d’antenne pour la période électorale par CNews. La journaliste avait pris position en signant une pétition en faveur d’Emmanuel Macron et contre Marine Le Pen. Sur le plateau, elle a aussi poussé un coup de gueule contre le Front national.
"J'ai presque envie de pleurer quand j'entends ça"
"Ma position est vraiment une position de principe et de lutte contre l’extrême droite. Je respecte le travail de mes confrères et consoeurs de CNews. La décision qui a été prise, a été de les protéger en m’écartant de l’antenne. Je le comprende, Je le conçois", a-t-elle commencé.
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"Marine Le Pen, c’est la candidate du Front national. J’ai presque envie de pleurer quand j’entends que c’est la candidate soutenue par le Front national. Qui peut douter aujourd'hui que Marine Le Pen soit la candidate du Front national ? Qui peut douter aujourd'hui que le Front national soit un parti d'extrême droite ?", a-t-elle ajouté.
Au bord des larmes, la journaliste est aussi revenue sur les déclarations négationnistes de Jean-François Jalkh concernant l'utilisation du Zyklon B dans les camps d'extermination nazis. Il "s’est posé la question de savoir si on avait pu utiliser du Zyklon B pour des tueries de masses durant la Seconde Guerre mondiale. Mais quelle perversion de l’esprit il faut avoir pour se poser ce type de questions", a-t-elle lâché.