Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
François Hollande et le soldat anonyme
Volontairement ou involontairement, les personnalités politiques prononcent parfois des "petites phrases" qui ne manquent pas d’humour. Pour la 13e année consécutive, le Press Club de France va les récompenser. Mais alors que le premier prix de la cuvée 2015 ne sera desservi que d’ici quelques mois, une pré-sélection a été dévoilée jeudi.
"Il n'y a rien de plus terrible pour un soldat déjà anonyme que de mourir inconnu". Une phrase prononcée par François Hollande lors de l’inauguration de l’Anneau de la Mémoire à Notre-Dame-de-Lorette, dans le Pas-de-Calais, pour les commémorations de l'Armistice de la Première guerre mondiale.
François Fillon et les propositions d’Emmanuel Macron
"Avant de juger les propositions d'Emmanuel Macron, je vais attendre qu'elles soient abandonnées". Une phrase prononcée par l’ancien Premier ministre en octobre dernier au micro de France Info.
Patrick Mennucci et le "milieu"
"Guerini dit qu'il n'est ni de droite ni de gauche ; alors il est forcément du Milieu". Le député socialiste se confiait alors au Point en octobre dernier, à propos du sénateur des Bouches-du-Rhône qui a été exclu du PS à cause des différentes affaires qui le visent, dont certaines pour des marchés publics prétendument frauduleux.
Jérôme Lavrilleux et l’honnêteté
"C'est la campagne la plus honnête qui ait jamais eu lieu". Impliqué dans l’affaire Bygmalion, ce proche de Jean-François Copé s’exprimait alors dans les colonnes de L’Express en octobre dernier et expliquait que Nicolas Sarkozy n’avait rien à voir dans la mise en place d’un système frauduleux en marge de sa campagne.
Brice Hortefeux et le code de bonne conduite de Nicolas Sarkozy
"Sarkozy a une règle: ne pas s'en prendre aux autres". Considéré comme le plus fidèle lieutenant de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux tentait alors, dans les colonnes du Parisien, de convaincre que l’ancien président ne nourrissait aucune rancune à l’égard de ses "collègues" à l’UMP.