De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Arnaud Montebourg
Depuis son QG de campagne parisien, le troisième homme de la primaire et "faiseur de roi" a décidé d'apporter son soutien à Benoît Hamon. "Avec Benoît Hamon, nous avons combattu ensemble dans le gouvernement les politiques sociales-libérales aujourd'hui désavouées par les électeurs de la primaire. Nous avons quitté le gouvernement ensemble et veillé ensemble, malgré des désaccords, à ce que nos prises de position restent complémentaires et compatibles", a-t-il affirmé. Et de conclure, devant ses électeurs : "Je voterai Benoît Hamon et je vous invite à faire de même".
Sylvia Pinel
Arrivée avant-dernière avec 2 % des voix, la présidente du Parti radical de gauche (PRG) a décidé d'apporter son soutien à Manuel Valls. "Manuel Valls est le plus proche de mes convictions, notamment sur la défense intransigeante des valeurs de la République. Il est aussi celui qui a la stature d'un homme d'État et il est donc le seul à mes yeux à pouvoir faire gagner la gauche. Bien naturellement, je m'engagerai à ses côtés pour ce second tour, dans l'intérêt de la gauche", a-t-elle déclaré le soir de sa défaite.
Vincent Peillon
Quatrième à l'issue du scrutin de dimanche soir, Vincent Peillon n'a pas souhaité donner de consigne de vote en vue du second tour. L'ancien ministre de l'Éducation s'est contenté de féliciter "les deux finalistes Benoît Hamon et Manuel Valls" et d'appeler "les électrices et les électeurs à amplifier encore leur vote"
François de Rugy
Le cinquième homme de cette primaire avec 3,8 % des voix n'a lui pas encore tranché. Il a affirmé espérer les rencontrer dès lundi pour se décider. "Je vais leur parler des 66 propositions de mon projet, savoir ce qu'ils sont prêts à reprendre", a-t-il déclaré dimanche soir.
Jean-Luc Bennahmias
Quant à Jean-Luc Bennahmias, arrivé bon dernier avec 1 % des voix, il a annoncé qu'il prendrait position mercredi, jour où doit se tenir le débat de l'entre-deux tours entre Benoît Hamon et Manuel Valls. "Je vais réunir mes équipes, on va en discuter et on verra quelle décision on prend", a-t-il déclaré.