![Premier ministre du NFP : Marine Tondelier “désolée du spectacle” donné par la gauche](/files/styles/pano_m/public/images/article/8/5/2/2967258/vignette-focus.jpg?itok=Lc4wIoYT)
La démission de Gabriel Attal a été acceptée par Emmanuel Macron le mardi 16 juillet au soir, la question du futur locataire de Matignon reste donc en suspens. Du côté du NFP, ils se sont mis d’accord pour...
© AFP
Et si Ségolène Royal faisait elle aussi son grand retour en 2017 ? Grande perdante de l’élection présidentielle de 2012 et depuis malmenée par la sphère politique, la présidente de la région Poitou-Charentes ne dirait pas non à une deuxième tentative pour remporter la bataille de l’Elysée. Un jour après que Le Point a révélé que Nicolas Sarkozy "ne peut pas ne pas revenir", son ex-rivale s’est montrée quelque peu mystérieuse quant à ses intentions. "On ne dit jamais ‘jamais’ en politique", a-t-elle en effet confié au micro de RTL ce jeudi matin.
"Je crois que les Français n’auront pas la mémoire courte"Et alors que l’annonce du retour du « champion de la droite » promet d’être mouvementée – Nicolas Sarkozy aurait quelques comptes à régler au sein de l’UMP et pourrait même envisager de créer un nouveau parti – Ségolène Royal a expliqué que la décision de l’ancien président de la République serait notamment motivée par le fait que "la droite est dans une situation lamentable. Les divisions et l’absence de propositions. C’est une affaire à l’intérieur du camp de la droite".
Estimant que l’ex-locataire de l’Elysée a peu de chance de convaincre les électeurs, elle a par ailleurs prédit : "Je crois que les Français n’auront pas la mémoire courte".
Découvrez encore plus d'actualités, en vous abonnant à la newsletter de Planet.
Votre adresse mail est collectée par Planet.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.