La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Le match de 2017 n’a pas encore débuté que Nicolas Sarkozy, président de l’UMP, décoche ses flèches.
En visite samedi à Saint-Georges-d’Orques, tout près de Montpellier (Hérault), pour soutenir la tête de liste de son parti pour les régionales, l’ancien chef de l’Etat n’a pas mâché ses mots pour s’en prendre à son successeur à l’Elysée.
"En 2017, il y a un poids mort pour la France qui appartiendra au passé", lâche-t-il à propos de François Hollande qu’il appelle "Moi, je !" en référence à l’anaphore utilisée par ce dernier lors de leur duel télévisé pour la présidentielle de 2012. "La situation est extrêmement préoccupante. On savait qu'avec « Moi, je ! », ça ne serait pas terrible. Ça dépasse toutes nos espérances", a-t-il renchéri devant une salle de 2 000 personnes acquises à sa cause.
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"En 2015, il a pris de l'expérience : il ne nous promet pas l'inversion de la courbe du chômage cette année, mais pour l'année prochaine. Il y a une chose qu'il n'a pas compris, « Moi, je ! »: le chômage, après le matraquage fiscal, il en est directement responsable", a poursuivi Nicolas Sarkozy qui devait par la suite partir au stade de la Mosson assister au sacre du PSG en Ligue 1.
Valls, Najat Vallaud-Belkacem, Cambadélis dans son collimateur
"J'accuse le gouvernement socialiste d'être directement responsable de l'augmentation invraisemblable du nombre de chômeurs. (...) Et maintenant il fait quoi, « Moi, je ! »? Il regarde, il va fêter son 3e anniversaire dans les Caraïbes, et il va saluer, sic, le « dernier grand personnage », Fidel Castro.", a-t-il renchéri avant de s’attaquer à d’autres cibles.
Parmi elles, Manuel Valls et Najat Vallaud-Belkacem : "On pensait avoir tout vu avec madame Taubira, on a peut-être aussi bien avec la réforme du collège", a-t-il lancé avec ironie. Autre socialiste dans son collimateur : Jean-Christophe Cambadélis qui avait dit que les propos de Nicolas Sarkozy, s’attaquant à la réforme du collège portée par Najat Vallaud-Belkacem, étaient "légèrement xénophobes".
"Un responsable de gauche dont j'ai oublié le nom, je ne le connais même pas, a dit que j'étais presque xénophobe. Je n'ai toujours pas compris comment on peut être presque xénophobe. Lui, il n'est pas presque stupide.", a lancé encore Nicolas Sarkozy devant une salle visiblement ravie de ses saillies verbales.
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