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Son éventuel retour semble se confirmer de jour en jour. Mercredi, Nicolas Sarkozy a en effet montré de nouveaux signes illustrant son désir de revenir dans l’arène politique. Alors qu’il était à l’Assemblée nationale pour se voir remettre le "prix de l’appel du 18 juin" par l’Union pour le progrès, l’ancien président de la République a déclaré que pour lui, "c’était encore le temps de la réflexion". Visiblement soucieux de conserver un certain suspens, il a poursuivi en expliquant ce que représentait à ses yeux le gaullisme. L’association qui lui a remis un prix a été relancée en 2010 et suit les pas d’une autre précédemment créée par le général de Gaulle en 1965.
"Ce n’est pas une question de calcul, la politique, mais de passion""Ma conception du gaullisme, c’est une certaine forme de fidélité", a ainsi lancé Nicolas Sarkozy avant d’ajouter : "La première qualité pour s’engager en politique, c’est d’être passionné". Et l’ex-locataire de l’Elysée d'assurer : "On s’engage passionnément ou pas du tout, à mille pour cent ou pas du tout, avec le cœur, avec les tripes, les sentiments. Ce n’est pas une question de calcul, la politique, mais de passion". Et alors que sa première campagne présidentielle mettait en avant un programme de "rupture", l’ancien chef d’Etat a également estimé que "le gaullisme a toujours porté la volonté de rupture. A chaque instant, le système a voulu se venger de lui (du général de Gaulle, ndlr) parce qu’il n’était pas des leurs, il les dominait".
Mais si Nicolas Sarkozy a invoqué mercredi son besoin de réfléchir encore avant de prendre une décision quant à son retour, le Journal du Dimanche croit savoir que tout serait d’ores et déjà décidé. Dans sa dernière édition, l’hebdomadaire a en effet révélé que le mari de Carla Bruni prévoirait de faire son come-back la "dernière semaine d’août". Le "temps de la réflexion" pourrait bien ne plus durer encore très longtemps.
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