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Alain Juppé ne la soutient pas

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Alain Juppé ne la soutient pas

L’ancien Premier ministre François Fillon a pris ses distances avec Nadine Morano. "La France est un pays historiquement avec des racines chrétiennes, c'est un fait. Aujourd'hui, c'est une République, un pays laïc qui ne fait pas de différence entre les religions", a-t-il notamment expliqué lors d’une interview accordée à BFMTV dimanche. Toutefois, il a également tenu à nuancer les propos de l’eurodéputée : "Mais si j'ai bien compris, Nadine Morano rentre d'Irak où elle a vu des camps de réfugiés. Elle a le mérite d'être allée sur le terrain, quand beaucoup de commentateurs ne le font pas".

Christian Estrosi la soutient

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AFPChristian Estrosi la soutient

C’est sur Twitter qu’Alain Juppé a décidé de réagir aux propos sur la "race blanche" tenus par Nadine Morano. "Un signe d'amitié ce matin à nos compatriotes d'Outre-Mer qui ne sont pas tous de 'race blanche' mais qui sont tous Français à part entière", a-t-il écrit. Un tacle en règle adressé à l’eurodéputée.

Marine Le Pen ne la soutient pas

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AFPMarine Le Pen ne la soutient pas

Invité au micro de Radio Classique mercredi, Christian Estrosi a avoué qu’il n’avait pas regardé l’émission mais a tenu à afficher son soutien envers Nadine Morano. "Je ne ferai pas partie de ceux qui l’accablent, là où je souhaite que sa personnalité qui a beaucoup apporté à notre mouvement depuis des années, qui est quelqu'un de modéré, puisse contribuer à porter", a-t-il notamment déclaré, ajoutant que l’eurodéputée avait toujours été "une farouche combattante de toute forme (…) de racisme".

Philippe de Villiers la soutient

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AFPPhilippe de Villiers la soutient

La présidente du Front national Marine Le Pen a tenu à prendre ses distances avec les propos de Nadine Morano. "Ce sont pas les propos de Nadine Morano, ce sont les propos du général de Gaulle, avec lequel je suis en désaccord parce qu'il les a tenus pour justifier son refus de l'Algérie française. Or nous étions pour l'Algérie française car nous considérions qu'au-delà des races et des religions, l'on pouvait être français pour peu que l'on se sente français", a-t-elle affirmé ce jeudi sur Europe 1.

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