Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
La classe politique reste assez prudente concernant la sortie du livre de Valérie Trierweiler. Mais à l’instar de Ségolène Royal qui s’est contentée de déclarer que le présumé mépris qu’aurait François Hollande à l’égard des pauvres était du "n’importe quoi", Manuel Valls s’est également fendu d’un commentaire bref et sec à l’endroit de l’ancienne première dame.
En marge d’un déplacement à Saulxures-les-Vannes (Meurthe-et-Moselle) pour visiter une école primaire, le Premier ministre a dénoncé le grand déballage orchestré par Valérie Trierweiler.
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"Je crois que le débat public, notre vie publique" ont "besoin de respect, je rajouterais d'ailleurs un autre mot: dignité" a-t-il lancé avant d’ajouter : "par des attaques outrancières, par le mélange de la vie publique et de la vie privée, on abaisse le débat".
Le Premier ministre a par ailleurs insisté en appelant "au respect de la vie de chacun et à la dignité de ce débat public" et a précisé que le gouvernement ne se laissera "en aucun cas entraîner dans ces discussions".
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Pour l’heure, les personnalités politiques de droite comme de gauche préfèrent s’abstenir de tout commentaire rejetant avec force cet amalgame public/privé qui entrave l’action politique.
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